Sa proie

Tu es à moi

Scène à caractères sexuels

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Diego me tient fermement les hanches et ne me quitte pas des yeux.

- Jade tu en es sûre ?
- Absolument.

Il défait alors sa ceinture et enlève tout ce qui cachait jusqu'à maintenant sa virilité.

Il est tout dur...

- Tu es à moi Jade

Je souris à sa phrase et l'amène vers moi en posant une main sur sa nuque.

Je l'embrasse encore une fois et insère ma langue dans sa bouche. Je sens alors son sexe se frotter au mien. Ma respiration s'accélère de plus en plus et il semble apprécier ce qu'il me procure.

Il ouvre un des tiroirs et en sort un préservatif. Il le met en vitesse avant de revenir m'embrasser.

Petit à petit, son pénis entre en moi. Diego me regarde dans les yeux pour voir chacune de mes réactions. Il est très doux et j'aime ça. Je n'aurais jamais pensé ça de lui, mais comme quoi, les apparences sont trompeuses.

Puis il interrompt mes pensées en me donnant un premier coup de rein. Une vague de plaisir mélangée à la douleur s'empare de moi.

Diego le remarque et ralentit immédiatement.

- Je t'ai fait mal ?
- Non ne t'inquiète pas, tu peux continuer

Il recommence alors plusieurs fois et peu à peu la douleur laisse place au plaisir.

Mes ongles se plantent inconsciemment dans son dos tandis qu'une de ses mains se pose sur mon cou. Il le sert légèrement et me donne des coups de reins de plus en plus rapides et profonds. Je crie de plaisir et me cambre sous son imposant corps. Mes mains serrent les draps tellement le plaisir est fort. Je regarde Diego dans les yeux et je remarque que lui aussi ressent beaucoup de plaisir. Sa peau a rougit, ses cheveux sont en bataille, et il me contemple d'un regard empli de désir.

Soudain, il ramène mon bassin contre lui et me fait réellement l'amour. Sa tête plonge dans mon cou qu'il dévore presque. Je l'entends gémir contre ma peau et j'aime tellement ça.

Puis d'un coup, je décide d'inverser les rôles. Je me mets alors sur lui et commence à bouger mes hanches.

- Jade bordel...

Il agrippe brutalement mes fesses et m'aide à réaliser les mouvements. Ses mains se baladent de mes fesses à ma taille puis remontent vers ma poitrine ainsi que mon cou. Il prend mes seins dans ses grandes mains et les malaxent.

J'aimerais que ce moment dure pour toujours.

Quelques minutes plus tard, une vague de plaisir nous submerge tous les deux. Nos gémissements à l'unisson témoignent de notre désir l'un pour l'autre. Mon corps s'allonge ensuite à ses côtés et mon souffle se mélange au sien.

- Tout va bien Jade ?
- J'ai jamais été aussi bien...
- Tu as aimé ?
- "Aimer" n'est rien par rapport à ce que j'ai ressenti.
- C'est réciproque mon ange, tu as été parfaite.

Sa phrase me fit rougir. Je l'embrasse une dernière fois avant qu'on s'endorme l'un collé à l'autre.

Le lendemain
9h07

pdv Diego

Des cheveux sur mon visage viennent me réveiller. J'ouvre les yeux, et en effet, je la vois là. Presque allongée sur mon corps. Ses cheveux corbeaux sont étalés un peu partout sur mon torse et quelques une de ses mèches rebelles caressent mon visage. Elle semble si apaisée.

Je me lève alors en douceur pour ne pas la réveiller, et vais prendre une douche.

Une fois douché et habillé, je sors de la chambre et me dirige vers mon bureau.

Il faut que je trouve comment William a pu savoir qui elle était avant même qu'on arrive à l'enchère. Je mets mon bras à couper qu'il a fait des recherches profondes au sujet de la famille Rivera, et principalement sur Jade, la fille dont personne ne connaissait le visage.

Avant que cette putain d'enchère ne dévoile son identité

Je vais mettre Bastìan sur le coup, c'est le seul en qui j'ai réellement confiance.

Je l'appelle alors et il arrive directement dans mon bureau.

- Oui jefe ?
- Je vais avoir besoin de ton aide sur ce coup là Bastìan. Tu le sais, j'ai confiance en toi, j'aimerais que tu trouves des informations sur comment William a pu reconnaître Jade aux enchères, je veux que tu trouves comment il a trouvé que c'était elle la fille de Salvatore. Je te donne tous les moyens possibles, si tu as besoin de quelque chose, tu me demandes.
- Il vous faut ces informations pour quand ?
- Le plus vite possible.
- Très bien, je vous tiens au courant.

Bastìan allait ouvrir la porte mais je le retiens.

- Bastìan

Il se retourne.

- Oui ?
- Tu peux me tutoyer.

Il semble surpris, ne s'attendant sûrement pas à ce que je lui dise ça.

Ça se comprend, aucun de mes hommes n'a ce privilège, c'est bien la première fois que j'en autorise un à me tutoyer.

Je voulais accorder ça à Bastìan. Il fournit un vrai travail, et est toujours très investi dans ce que je lui demande.

Maintenant, il saura que je le considère comme un vrai point fort dans ma mafia.