Chapitre 16

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Je suis en ce moment face à mon père. On est assis face à face dans une autre salle disponible du bar. Je sors mon collier de sous ma robe et le montre. 

Moi : Norbert m'a dit que vous lui avez donné un collier pour sa fille. . . étant donné qu'il a dit qu'il la connaissait. Croyance et moi voulons rentrer à la maison, on veut une famille et ne plus être séparer. . . 

Abelforth : Si je comprends bien, tu es ma fille et Croyance est celui qui envoi les messages ? 

Moi : Arianna et Aurelius Dumbledore. 

Il se lève et fait le tour de la table (NDA : Je me suis levée au même moment. . .) pour me prendre dans ses bras. Je le serre aussi fort que ma force me le permet dans mes bras, restant assise et lui debout. Mes larmes coulent et il me murmure des mots rassurant en demandant pardon. Je secoue la tête avant de le regarder. 

Moi : Tu n'as pas à t'excuser, l'importance c'est que tu es là et que tu veuilles bien nous reprendre. 

Il me sourit en me caressant la joue et en levant mon collier. 

Abelforth : Ce collier appartenait à ma sœur. . . Elle voulait le donner à sa progéniture mais n'en n'ayant pas une, j'ai décidé de le garder et de le donner à la première fille qui naitra dans ma famille. Bien que tu es disparu, il est revenu à toi. 

Je souris et sèche mes larmes tendis qu'il me demande de le suivre dans une autre pièce, secrète cette fois, où il se trouve un coffre. D'un coup de baguette, il ouvre le coffre et des vêtements, livres, bijoux,. . . viennent dans ses bras. Il se tourne vers moi pour me donner ses affaires. 

Abelforth : Ce sont des affaires de ta tante et ta mère mélanger, je te les donne pour que tu puisses les utiliser, un cadeau d'excuse. 

Je le remercie et rapetisse les affaires pour les mettre dans ma poche. JE retourne voir Norbert bien plus tard, ayant discuter avec mon père de notre famille et de ce qu'il s'est passé depuis ma disparition. Je lui ai raconté mon point de vue et celui d'Aurelius et il est prêt à commettre un meurtre. Surtout quand il a su que j'étais à Poudlard depuis mes six ans. . . 

Norbert me raconte les regrets d'Albus et la venue du Phénix à mon frère, lui aussi est mourant. . . Et d'après Albus, on ne peut pas le sauver donc on ne peut as me sauver moi non plus. Je fais un sourire réconfortant à Norbert pour lui dire que je vais bien, que tout ira bien mais je sais que je ment, il le sait aussi et je suis sure qu'il  a une douleur et une tristesse imparable dans mes yeux également. J'ai également pris que ma tante était un obscurial, ce que mon père ne pas pas dit mais je ne le balme pas, je le comprends, mais à l'inverse de Croyance, elle n'a pas apprit la magie donc celle ci est devenu un poison et est morte. 

Moi : N'empêche, il a raison, ta franchise est un don ! 

Norbert : . . . Tu l'as aussi ! 

Moi : Mmm. . . 

On éclate de rire alors que nous rejoignons les autres pour aller se coucher. Norbert m'avoue ce qu'il a dit à Albus lorsque nous sommes dans notre chambre. Je souris et approuve ses propos avant de me coucher contre son torse. Il s'endort directement mais je n'y arrive pas. Je me lève et envoie une lettre à mon frère pour qu'on puisse se revoir avant la guerre ou du moins les élections. 

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Du côté de Croyance, il suivait Grindelwald à travers la foule de fidèle qui le remercie et l'encourage pour les élections. Avec un sourire, Grindelwald les remercie avant de se tourner vers eux lorsqu'il atteins la porte. Kama est en première ligne pour ne rien louper, attendant la venue de sa partenaire. 

La soeur de Croyance Bellebosse   {Terminer}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant