Extraits de la Divine Comédie
Le Purgatoire : Chant XXV
« Un sang parfait, épuré, descend dans un lieu qu'il est plus beau de taire ; puis il s'écoule dans un autre sang par vase naturel. Là se recueillent l'un et l'autre ensemble, l'un prêt à subir, et l'autre à faire, en raison du lieu parfait où il a été pressé ; et, uni à cet autre, il commence à agir en coagulant d'abord, puis donne vie à ce caillé auquel il a donné consistance. »
Fragments de mes songes :
Poursuivie des âmes de 36 pécheurs
Menant la barque de la rédemption
Je vogue vers la montagne du Purgatoire
Commandés par la chimère
Les damnés grouillent autour de moi,
Mugissent et me harcèlent
Leur maître puise sa force
De leurs crimes inabsous,
Avale les grappes de leurs péchés
Comme le sang de la vigne
Il se nourrit de leur démence
De leurs contorsions spectrales,
Et se renforce dans l'infamie
Il me talonne par l'air putride
Le sceau brûlant de ses griffes
S'imprime au bas de mes reins
Une main blême, m'aide
A rejoindre la rive
C'est la silhouette drapée de rouge
Mon alliée couronnée de laurier :
« Il devient plus fort, chaque jours. Quoi qu'il en coûte, nous devons l'expulser et lui fermer la voie. Il ne doit pas atteindre le Paradis ! Viens, récite avec moi. »
Le rire suave et vicié de la chimère
S'aiguise dans notre dos
Comme le tranchant d'une épée :
« Il est vain de me repousser, Purgatorio. Tu ne pourras garder éternellement son sanctuaire. Elle est mon agneau, incapable de résister à l'appel de mon sang et de ma race, et de ses entrailles renaîtra le monde... »
A genoux devant la porte du purgatoire
Nous gardons l'entrée
Joignant nos mains et nos prières :
« Éternel, délivre-moi des hommes méchants,
Préserve-moi des hommes violents !
Ils méditent le mal dans leur cœur
Ils aiguisent leur langue comme un serpent,
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Enseigne moi la patience - Yandere Giorno
FanfictionVous êtes une jeune professeure d'Histoire. Votre vie bascule le jour où le sublime et charismatique Giorno Giovanna devient votre élève. Toute l'année, vous avez résisté à ses charmes et entendez bien continuer. Mais la fatalité du destin semble bi...