Bonjour à tous !
Voici la prologue du tome 2. Voici les TW :
Comme le premier tome, les écrits en gras sont les phrases prononcés en français. Des références à mes livres et à mes films préférés seront présents. Ce ne sont que des hommages et non une tentative de plagiat.
Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité de certains lecteurs. Des TW seront précisés avant chaque chapitre contenant des descriptifs explicites.
À un public averti, bonne lecture !
Manon.
Flynn :
Elle m'aimait. Je l'ai repoussée et j'ai appris trop tard qu'elle aussi, elle m'aimait. Et le temps est passé. Nous avons fait nos cartons. Nous avons déplacé notre entreprise dans un milieu inconnu de nos ennemis.
Est-ce que j'ai fuis ? Non. Pour prendre ses ennemis par surprise, il faut avoir un coup d'avance. Et puis j'en avais marre du soleil de Miami.
À moins que ce soit les souvenirs avec Laïa qui m'empêchent de rester ?
Je ne fais que penser à elle. Encore. Toujours. À chaque instant de ma journée. Mais Lyo a raison, elle n'est pas faite pour vivre dans mon monde. Et puis, je sais, de source sûre, qu'elle va bien. Elle n'a plus besoin de moi.
La nuit est tombée depuis longtemps, pourtant, dans la pénombre de ma nouvelle chambre, je relis les lignes qui me sont destinées. Le vent qui se faufile au travers des branches, au-delà de ma fenêtre, m'apaisent et me font penser à elle. À sa légèreté. Son sourire. Son besoin de liberté.
Putain, je suis toujous piqué.
Mon téléphone sonne et mon palpitant (ce traître) me trahit lorsque je reconnais un numéro français. Mais mon esprit fait très vite le rapprochement, ce n'est pas elle. Ça ne le sera jamais. Elle ne veut plus de moi. Elle va bien.
Oui, mais moi, je la veux. J'ai besoin d'elle. Je ne vais pas bien sans elle.
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Avez-vous reconnu la ville imagé sur ce prologue ?
C'est un indice d'où va se dérouler l'histoire.
C'est là où je vis actuellement et où je vais rester pour au moins un an.
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À pas de loup
RomanceHuit mois. C'est le temps qu'elle a utilisé pour reprendre sa vie en main, en France. C'est le temps qu'il lui a fallu pour tenter d'éradiquer les menaces qui plane au-dessus de sa tête. Huit mois. Huit mois c'est déchirant. Huit mois c'est réc...