Chapitre 9

407 20 77
                                    

PDV Externe :

Samedi soir, les adolescents étaient entre eux, jouaient à leurs consoles ou regardaient leurs meilleures séries.

Certains faisaient leurs devoirs, ce qui était assez rare. Mais oui, ça existe.

Mais ils sont certainements pas en train d'essayer de gagner leur vie.

Enfin si, ils existent, mais on ne pense pas à eux.

Alizée en faisait partit. Je pense que vous vous y attendez.

PDV Karasuma :

La mission avance guère, les élèves ne sont pas encore prêts, et je doute que certains en ai la réelle envie.

Je ne sais pas si ils vont pouvoir y arriver. Mais je dois quand même les entraîner.

- Karasuma ! Tu es venu finalement !

Je ne sais même pas pourquoi je suis venu.

Des colléguez ont suggéré qu'une pause pourrait être bien au lieu de penser tout les jours à la destruction de la planète.

J'ai beaucoup hésité à venir, je ne suis pas du genre à sortir, mais heureusement pour moi ils avaient décidé d'aller dans un casino.

L'un des rares trucs que j'apprécie.

- Ça fait plaisir que tu sois venu. Toi qui n'est pas du genre à sortir.

Ils jouent tous les hypocrites, ça se ressent.

Nous entrons dans le casino, il y avait pas mal de monde. Les jeux étaient lancé, des jeux de chances, des jeux de logique, des jeux qui comportait des deux.

On s'intallèrent à une table, qui était fait pour le poker, nous étions cinq en tout.

Le jeu débuta, tout se passait à peu près bien.

Je regardait le jouer en face de moi, mais derrière lui je reconnu une personne.

Je jurai l.avoir déjà vue.

La posture et la démarche.

Ses cheveux courts et bruns étaient attaché et elle portait un pantalon noir et un chemise de la même couleur, de même pour les bottes.

Elle parlait à un homme qui je crois travaillait ici.

Après quelques secondes elle s'éloigna de lui et nos regards se croisèrent.

Bordel, qu'es qu'elle fout là.

***

Assis sur un banc dehors, mes collègues étaient repartit, mais j'attendais quelqu'un.

Vers 3 heure du matin, elle sortit enfin.

On se regarda puis elle finit par s'asseoir à côté de moi, comme si elle avait comprit.

Alizée : Si ça peut vous rassurer, je jouais pas, je travaille là bas.

Karasuma : Ils acceptent qu'une gamine travaille parlais eux.

Alizée : On dirait bien. Vous allez me dénoucer et les dénoncer avec.

Karasuma : Non.

Alizée : Merci, c'est sympa.

Karasuma : Il y a rien de sympa, t'as une capacité, on en aura besoins pour tuer le poulpe.

Les Yeux NoirsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant