Chapitre 14

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PDV Externe :

Le lendemain, la batterie d'artillerie autonome avait changé.

Le professeur avait fait des changements, maintenant elle était plus lumineuse , plus joyeuse.

Terrasaka avait quand même réussi à la faire pleurer. Il y a que lui pour faire ça.

La matinée se passa dans le calme. Les élèves découvraient leur nouvelle camarde qu'ils avaient nommés Ritsu.

L'heure sonna pour les élèves d'aller en sport.

Un fois qu'ils s'étaient changés dans les vestiaires, ils s'assirent sur le terrain.

Le professeur de sport, monsieur Karasuma, expliqua le cour d'aujourd'hui.

Ils mit les élèves par deux pour qu'ils s'entraînent au corps à corps.

(Je pense qu'il n'a plus d'idée)

Et bien évidemment, Alizée était en duo avec Karma.

Chaque duo partirent dans un coin du terrain.

Karma : Promis, je retiendrais mes coups.

Alizée : T'es si galant. Hâte de te voir au sol.

Karma : T'es mignonne quand tu rêves.

Alizée : Par contre là ça fait pédophilie, tu feras gaffe.

Karma : Ouais.

Ils placèrent leurs poings devant leur visage pour se préparer.

Alizée : Bon, tu te lances.

Karma : Non, toi tu lances.

Alizée : Pourquoi moi ?

Karma : Bah pour riposter.

Pendant qu'ils parlaient, elle s'étaient rapprochés et tendit le bras pour lui foutre un coup de poing, coup de poing qu'il intercepta.

Karma : T'as cru que je t'avais pas vue.

Il lança sa jambe dans ses tibias ce qui la fait tombé.

Elle se releva et les coups de poings, les coups de jambes et les esquives s'enchaînèrent des deux côtés.

Des deux, Alizée était celle qui était le plus tombé à terre, et Karma, celui qui s'êtait prit le plus de coup de poing.

Kurarashi : Monsieur, c'était pas censé être de la simulation.

Karasuma : Si, je vais aller leur dire d'arrêter.

Koro : Attendez. Laissez les.

Karasuma : Ils vont finir par vraiment se blesser.

Koro : Dés le début, ces deux là ont eu des problèmes entre eux, pourtant, ils ne sont pas trés différents. De plus, ils sont les deux de la classe où nous ne pouvons pas lire en eux, peut-être ont-ils besoin de se défouler sur quelqu'un.

Les deux professeurs et quelques élèves regardaient les deux se battre.

Ils avaient des bleus et des égratignures sur le visage.

Alizée se releva pour la centième fois depuis le début, elle replaça ses poings devant son visage, resta quelques secondes comme ça sous le sourire de Karma, mais décida de laisser pendre ses bras le long de son corps.

Alizée : J'abandonne. T'as gagné.

Elle s'allongea sur l'herbe.

Karma : Déjà ?

Les Yeux NoirsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant