Chapitre 11

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PDV Externe :

Kyoto, une ville dites parfaites pour l'assassinat... Selon les élèves.

Le groupe de Nagisa marchait dans les rues cherchant l'endroit pour le crime parfait.

Conversation normal pour des élèves de la classe E.

Ils entrèrent dans une ruelles étroites et sombres.

Sugino : C'est parfait Kanzaki ! Ce lieu est parfait pour un assassinat.

Alizée : Pour un kidnapping surtout.

??? : Pas faux.

Une dizaine d'hommes, ou d'adolescent, qui arriva devant eux. Et d'autres arrivèrent derrière pour but de les encercler.

Karma : Qu'es que vous nous voulez les mecs ? J'ai pas l'impression que vous voulez nous faire visiter.

??? : Les gars, soyez sympa, 
laissez nous les meufs et rentrez chez vous-...

Il eût à peine finit sa phrase que Karma le mit à terre.

Karma : Tu vois Nagisa, quand il n'y a pas de témoins, on a pas de problème.

Les gars tentèrent d'attaquer Karma qui riposta.

Un mec s'approcha de Alizée en mettant sa main sur son épaule.

??? : Toi et tes copines vous allez nous suivre hein ?

Elle le regarda et lui foutue un coup de pieds dans le ventre, il tenta de lui envoyer un coup de poings dans son visage mais elle recula, lui pris le bras et le tordit.

Et c'est comme ça que Alizée commença à aider Karma, puis Sugino et Nagisa les suivèrent dans cette lancée.

Mais Karma fit assommer par un gars, de même pour Nagisa et Sugino.

Okuda courra se cacher et Kanzaki et Kaede firent attraper par d'autres des garçons.

En voyant ça, la brune fut déconcentré, et un homme eut le temps de venir derrière elle et de l'attraper par les épaules.

??? : Tu vas faire quoi ? Te battre toute seule contre nous ?

Alizée : Non, j'abandonne.

***

PDV Kanzaki :

On était dans un hangar, Kaede, Alizée et moi.

Le chef du "gang" m'avais déjà vue, une fois où j'étais allée dans une salle d'arcade.

Ça m'apprendra à me prendre pour je sais pas qui.

Kaede : Tu sais on a tous eu une période de rebelle dans notre vie.

Kanzaki : Mes parents ne faisaient que de me rabaisser avec mes notes, je voulais juste être libre. Juste une fois.

Alizée qui était à ma droite n'avait pas l'air de m'écouter. Elle avait l'air concentré sur quelque chose.

Mon regard se dirigea vers ses mains ligotés, comme les notres par des cordes.

Je reconnus son couteau dans ses mains. Elle était en train d'essayer de couper les cordes.

??? : Et si t'arrêtais l'école pour rejoindre notre gang ? Nous on veut s'éclater, on s'en fou des notes.

Les Yeux NoirsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant