Chapitre 20: Levé d'un mystère

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De retour au levé de la nuit Cendre fut à nouveau frigorifié. Arrivant au domaine, des lanternes étaient allumer pour éclairés tout le chemin jusqu'aux portes. Il marche le long de ce qui aurait du être le sentier jusqu'aux immenses portes et hésite longuement. Il s'apprête à taper quelques coups contre, la mine presque comme celle d'un enfant souhaitant se repentir d'une sottise qu'il aurait faite. Mais il s'arrête le poing suspendu lorsqu'il entend vaguement des paroles semblant être crier de l'autre côté.

- Tant pis j'y vais ! C'est de ma faute s'il est partit je vais le retrouver et le ramener !

C'est alors que la porte s'ouvre brusquement devant lui et tombe presque en arrière alors que Ben lui rentre dedans.

- CENDRE ?! Dieu soit loué tu es là ! N-Ne pars pas, je ne voulais pas te blessé, j'ai été tellement idiot. Je fais un piètre ami je le sais. Toute la journée je n'ai cesser d'essayer de te chercher au domaine avant que ce stupide chat ne m'arrête alors que j'étais prêt à partir à ta recherche dans la forêt !

- Ben ça aurait été son choix et nous ne pouvons pas nous y opposer.

- Oui mais...

Pour la première fois il voit son ami habituellement si hermétique avoir le regard larmoyant. Oh, tout prend son sens. Une mine de chien larmoyant à couiner est irrésistible ! Il prend son ami dans ses bras et le serre un léger rictus sur les lèvres.

- Je suis de retour, j'avais besoin de partir et ce n'est aucunement de ta faute. Tu n'avais pas tort dans tes mots bien que j'ai été attristé. Ne t'excuse surtout pas d'avoir été honnête.

- Cendre est de retour... ?

Cette fois-ci il y avait du beau monde, Lily était présente, accroché à la robe de sa mère semblant triste elle aussi avant de courir se réfugier dans les bras du jeune homme.

- Reste avec nous, j-je ne veux pas que tu t'en ailles ! Oncle Ben est méchant je l'ai mordu après qu'il nous a dit t'avoir fait fuir loin d'ici... Je t'aime moi, je veux que tu restes avec nous tous !

- Oh Lily... Je reste c'est promis, et- Attend tu l'as mordu ?!

- Et elle a été sacrément puni aussi. Bon retour à la maison Cendre.

Dame Olga s'était elle aussi approché, suivi par quelques autres domestiques qui l'accueilli. Savoir qu'il était toujours désir dans cette demeure lui monta les larmes, un grand sourire orne son visage le cœur serrer par l'émotion

- Je suis rentré.

Des œillades rassurés s'échangèrent mais avec un peu de difficulté à rentrer, ceux à cause d'une petite lapine agrippé à lui notamment, il pénètre à l'intérieur. Son manteau retiré il fut entouré par tous ces amis, même Jacqueline et Stuart étaient présents dans le grands salons à l'entourer. Jacqueline au début avait gronder et presque crier lorsqu'elle avait appris sa fuite, mais à présent elle était tout près de lui à sécher ses dernières larmes. Dame Olga dû retourner s'occuper du dîner. Le maître des lieux n'avait pas pu se décrocher un moment, semblant presque ne pas avoir été mis au courant de l'escapade de Cendre. Au moment de dîner il mange plutôt aux cuisines assis à une grande tables et mangea avec appétit. Ce soir-là il ne dormit pas dans sa chambre, mais à celle de Stuart, entouré par son ami et Jacqueline de l'autre côté. Elle n'avait pas dit un mot depuis, il était inutile. Cette fuite l'avait profondément marqué au point où elle craignait qu'il ne disparaisse à nouveau et dort accroché à sa main, Stuart de l'autre côté à tenir son autre main. Ainsi tous les trois s'endorment profondément enfouis sous les épaisses couvertures avec la promesse silencieuse de ne plus se quitter.

♥♦♣♠

Ce soir-là pendant que le château fut endormi une âme ne dormait pas, tourmenter par les paroles qu'il eut intercepter plus tôt dans la journée. Hésitant sur le pas de la porte ses propres paroles tournent sans relâche dans sa tête. Bon sang... Qu'avait-t-il donc fait ? Sans plus attendre avec autant de silence qu'il peut exercer il appuies sur la poignée dorée de la porte et entre ouvre afin de jeter un œil à l'intérieur. Son regard se dirige immédiatement vers le lit. Nullement besoin de lumière lorsque l'on peut avoir la vision nocturne comme n'importe quel animal nocturne. Une œillade vers le lit lui serre le cœur, là profondément endormis blottis entre deux de ceux qu'il peut appeler ami, se trouve l'être le plus attachant qu'il eût donné de connaitre. Les traits détendus et la respiration lente, il admire pendant un moment l'exquise créature endormit. Sur le point de pénétrer à l'intérieur de la pièce il fut arrêté par une main poser sur son dos. Prêt à gronder furieusement d'être interrompus, il cesse tout mouvements dès l'instant qu'il reconnait Madame Olga, un doigt significatif devant ses lèvres le priant de ne pas faire de bruit.

Le Beau et Le MonstreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant