Chapitre 14: Quel est cette sensation

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La Bête s'était alors précipitée pour entrer dans les cuisines, chose qu'il n'avait alors quasiment jamais faites dans toute sa vie. Les yeux écarquillés, chacune de ses mains sur les encadrement de la porte le souffle rapide il examine l'immense salle. Tous les serviteurs c'étaient arrêter dans leurs tâches, estomaqués de voir leurs maître en ces lieux.

- MADAME OLGA ! Ben et Lucien où êtes-vous ?! J'ai besoin de vous, TOUT DE SUITE !!

Son mauvais caractère était ressorti aussi vite que son ombre. Arrivant du fond des cuisines, Madame Olga apparut et fut bien surprise en voyant le roi dans les cuisines, s'avançant vers elle et lui prit les épaules des deux mains.

- J'ai besoin d'un miracle Madame Olga ! Bon sang mais quel idée m'est passé par la tête ?! Et pourquoi ce sot à accepter ! Il faut préparer la salle de bal pour ce soir ! Je veux que la pièce soit sublime, parfaite !

- Comment ? Mais Majesté... Habituellement nous la préparons seulement pour ce fameux soir chaque mois. Y a-t-il une raison à cela ? Ce soir précisément de manière si hâtive ?

- Il est tellement difficile, j'ai n'ai point eu le temps de réfléchir que j'ai invité Cendre à danser ce soir. Argh ! Il aurait dû promptement refuser, mais il a accepté. Maintenant hâtez-vous, je veux que tout soit prêt pour l'heure du souper. Nous dînerons avant de danser par la suite, maintenant prévenez Ben et Lucien ils doivent se mettre au travail dès à présent !

Il s'en alla aussi vite que venu, maugréant dans sa barbe poilue. Madame Olga quant à elle, se reprit de sa surprise et clape dans ses mains deux fois attirant l'attention des autres avant de parler haut et fort.

- Bien ! Activez-vous vous avez tous entendu le roi ? Au travail ! Sortez l'argenterie et activez-vous devant les fours on se réveille ! Pour ce soir au menu je laisse le chef s'occuper de tout. Cette soirée doit être époustouflante !

Le chef cuisinier hocha la tête, commence à donner des ordres dans la cuisine, laissant Madame Olga retourner à l'étage des serviteurs pour donner les ordres à suivre afin de préparer la salle au mieux et le plus efficacement possible. Tous se mirent à la tâche, Ben et Lucien trouvés dans un coin à se bécoter furent des plus gêner et mirent les bouchées doubles en salle aidant à tout mettre en place.

L'avancer de la salle de bal fut rapide, tous s'activèrent sous les ordres du premier valet et de son second. Les rideaux furent tirés puis attachés avec des cordes ou des embrasses fait d'or aux motifs fleuris taillés, pour plus de luminosité dans la grande salle de bal avec en plus une magnifique vue ce soir de l'extérieur. Dehors le froid ne laissait aucun doute à l'hiver qui approche à grand pas, les cheminées furent toutes nettoyées de leurs cendres noires dû aux bois restant, le feu rallumer par la suite et entretenu. A celle de la grande salle de bal fut particulièrement décoré de deux grands vases d'une élégante composition florale sur chacune des extrémités. Quelques vases et bouquets étaient disposés au travers de la salle afin d'harmoniser le tout, une agréable odeur de leurs parfums embaumes la pièce petit à petit. Le grand chandelier en cristal fut lustré et toutes bougies allumés apporte sa lumière à la pièce avec plusieurs petits chandeliers sur chacun des murs. Les tapisseries aux mures aux couleurs rouges et or nettoyer tout comme le sol. Puis sous l'idée suggérer de Dame Olga en son centre fut peint de grandes arabesques et motifs d'une peinture couleur oie blanche pas très vive. Les serviteurs furent contentieux dans ce procédé si peu réaliser durant ces dernières décennies, mais pas moins ravis de voir leurs talents mit à contributions.

Le soir arriva bien plus rapidement que prévu pour la Bête. Il se regarde à travers son grand miroir dans sa chambre. Il avait été obligé d'y aller afin de se regarder dans son miroir. Léon avait pris un bon bain moussant, aidé par Lucien à se préparer il avait longuement grondé n'aimant pas sentir son poil si lourd à cause de l'eau. Par la suite ils réussirent à raccourcir les poils par endroit, coiffé par un peu de cire importer d'une autre contré, parfumé sommairement ce qui dégage une bonne odeur de parfum sans qu'elle soit entêtante. Des vêtements à sa taille, il enfile le pantalon, une chemise mais aussi une veste assortie. La préférence fut pour un bleu marin et or pour la veste et son gilet avec un pantalon de couleur sombre. Ses griffes furent limées et ses cornes cirés, il avait fière allure même sous cette apparence. Fière du résultat, il s'admire un moment dans le miroir, Lucien toujours au pas de la porte patientant les prochains désirs de son maître aux besoins.

Le Beau et Le MonstreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant