Skandar Keynes et William moseley part 1

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(cette imagine contient du lemon et une relation libre)

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Je m'appelle Amandine Garcia et j'ai 19 ans. Je suis d'origine franco-britannique, plus précisément écossaise du côté britannique et marseillaise du côté français. Je suis la meilleure amie de Skandar Keynes et Georgie Henley, les deux acteurs qui ont joué dans Narnia. Je m'entends très bien avec Anna et William également. En parlant de William, il nous a plusieurs fois ramenés, Skandar et moi, quand nous étions saouls en fin de soirée. C'était vraiment comme un grand frère, même dans la vraie vie.

Nous avons eu la bonne idée de vivre en colocation à cinq, et tout semblait parfait. Ce qui rendait notre situation un peu particulière, c'est que William et moi entretenions une relation particulière. En public, nous nous comportions comme de simples amis, mais lorsque nous étions seuls, nous devenions amants.

Cette dynamique complexe entre William et moi ajoutait un élément intrigant à notre colocation. C'était un secret que nous gardions bien précieusement, ne le dévoilant qu'à quelques personnes de confiance. Notre complicité en tant qu'amis et amants apportait une dimension supplémentaire à notre relation et à notre vie en colocation.

georgie n'a que 15 ans, mais en raison de sa carrière prometteuse, ses parents ont accepté qu'elle vive avec nous. Cette décision témoigne de la confiance qu'ils ont en nous pour veiller sur leur fille tout en lui permettant de poursuivre ses rêves professionnels. Cela a renforcé notre lien en tant que colocation et a créé une ambiance de soutien mutuel, où nous nous efforcions de créer un environnement propice à l'épanouissement de chacun d'entre nous.

Alors que je rentrais au loft, en proie à une mauvaise humeur persistante après avoir passé toute la journée sous l'objectif des paparazzis, la seule personne présente était William.

Il m'a appelée depuis un coin du loft, "Amandine ?" m'a-t-il interpellée, mais j'étais tellement énervée que je n'ai pas vraiment entendu sa voix. Ignorant son appel, je suis directement partie dans la chambre que je partageais avec Skandar.

La journée avait été particulièrement éprouvante, avec les caméras et les objectifs pointés vers moi à chaque coin de rue. Mon visage avait été exposé sur les tabloïds et les réseaux sociaux, ce qui avait eu le don de m'agacer profondément. William était probablement le seul qui comprenait réellement à quel point cela pouvait être frustrant, étant lui-même bien familière avec l'attention médiatique. Mais à ce moment-là, mes émotions étaient à vif, et tout ce que je voulais, c'était trouver un peu de réconfort dans la chambre que je partageais avec Skandar.

Même avec Skandar, notre relation était fusionnelle, bien que nous nous considérions comme de simples meilleurs amis. Il y avait cette connexion spéciale entre nous qui allait au-delà de l'amitié conventionnelle. Les nuits, il nous arrivait parfois de nous réveiller en ressentant ce désir irrésistible de partager plus que de simples moments amicaux.

William arrive dans la chambre et s'assoit près de moi. Sa voix est douce et rauque, et son visage exprime une sincère préoccupation. "Mauvaise journée ?", me demande-t-il. Je soupire, laissant échapper un soupir fatigué. "Ouais, leur nouvelle rumeur, c'est que je suis enceinte de Skandar." Un rire nerveux m'échappe, bien que cette rumeur soit complètement fausse. William passe ses mains sur mes hanches, ses doigts glissant doucement sur ma peau.

"Tu as besoin de quelque chose ?", me demande-t-il, un sourire malicieux dans les yeux. Je ne peux m'empêcher de sourire en retour, sentant le poids de la journée se dissiper peu à peu. "Ouais... de sexe", je réponds taquinement. William se mord la lèvre, ses yeux pétillant d'une lueur de désir. "Oh... Amandine..." murmure-t-il d'une voix chargée de désir et d'anticipation.

William me porte avec une grâce troublante et me dépose délicatement sur le comptoir du salon, nos lèvres toujours scellées dans un baiser langoureux et passionné. Ses lèvres glissent lentement le long de mon cou, envoyant des frissons de désir dans tout mon corps. D'une main experte, il déboutonne mon t-shirt, dévoilant ma peau à ses lèvres avides. Il embrasse tendrement mes seins, faisant monter en moi une vague de plaisir intense.

Ses mains habiles font glisser ma jupe le long de mes jambes, laissant mes courbes à sa merci. William s'agenouille devant moi avec un regard brûlant de désir. Il murmure à voix basse, sa voix chargée d'anticipation, "Je vais bien m'occuper de toi."

Ses mains expertes écartent doucement mes cuisses, révélant le désir ardent qui brûle entre nous. Les sensations électriques parcourent mon corps alors qu'il commence à me caresser doucement entre mes jambes. Un soupir à peine contenu s'échappe de mes lèvres, et mon corps réagit instantanément à son toucher.

"Amandine... tu es si mouillée", murmure-t-il d'une voix rauque et chargée de désir. Ses mots font monter en moi une vague de sensations enivrantes. William descend sa tête lentement, sa langue délicieusement chaude glissant sur ma féminité. Mon corps se crispe de plaisir, et un gémissement involontaire franchit mes lèvres.

"Ah... William", gémissé-je, mes mains se crispant sur le comptoir du salon alors que je m'abandonne à cette vague de plaisir intense. La tension sensuelle entre nous est palpable, et chaque instant de cette étreinte est rempli d'une passion brûlante et d'un désir inextinguible.

C'est alors qu'il trouve cet endroit magique qui me fait frissonner de plaisir. Mes doigts se resserrent doucement dans ses cheveux, maintenant sa tête contre moi, tandis que ses mouvements deviennent plus rapides, plus audacieux. Chaque caresse experte de sa langue me fait gémir plus fort, et je me sens presque submergée par une délicieuse onde de plaisir, une onde qui me fait frôler le bord des larmes.

Alors que l'intensité de l'instant atteint son apogée, je finis par atteindre l'orgasme, mes sensations se libérant dans un tourbillon de plaisir. William, en accord avec son profond désir de me satisfaire pleinement, continue ses douces caresses jusqu'à la fin de mon orgasme, prolongeant ainsi cette extase voluptueuse qui me submerge.

Quand enfin la dernière vague de plaisir s'apaise, il relève la tête pour me regarder avec une lueur d'attention et de préoccupation dans les yeux. "Ça va mieux ?" me demande-t-il doucement, sa voix empreinte de tendresse et de sollicitude. Je hoche la tête, incapable de trouver les mots pour exprimer à quel point je me sens comblée et satisfaite.







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