Cette imagine contient du Lemon
Nous nous relevons, et elle saisit son bâton qui lui sert d'appui. "Tu peux prendre ma main si tu veux," je lui propose doucement. Elle accepte volontiers, et au moment où nos mains se rencontrent, je ressens la douceur de sa peau. Un échange subtil, presque imperceptible, mais chargé d'une signification particulière.
Les jours passent, et Jordanne et moi nous rapprochons dangereusement. Je suis parfaitement conscient que nous n'avons pas le droit de nous fréquenter, encore moins de nous aimer, même si ma mère Carol se montre bien plus tolérante. Une nuit, alors que je somnolais, la voix de Jordanne me murmure des mots coquins. Mes yeux s'ouvrent, et je la vois arborant des jarretières. Un élan irrésistible me pousse à me lever, et je l'embrasse langoureusement, la plaquant contre un mur tout en caressant ses jambes. Puis, soudainement, je me réveille. Un rêve érotique aussi vif que troublant.
Je suis éperdument amoureux d'elle, mais je ne la considère pas officiellement comme ma petite amie. Elle disparaît souvent, laissant derrière elle un mystère qui persiste. Malgré cela, lorsque nos regards se croisent, nous partageons des moments magnifiques.
Cette relation non conventionnelle s'inscrit dans les méandres d'une connexion qui transcende les étiquettes. Chaque apparition de Jordanne apporte avec elle une dynamique particulière, une intensité qui s'accroche à l'instant. Les instants partagés sont comme des éclats de lumière dans l'obscurité, illuminant mon monde d'une manière que je n'aurais jamais imaginée.
Le soir même, animé par le désir de retrouver Jordanne, je tente de m'aventurer de nouveau à sa recherche. Je m'approche dangereusement des territoires des Marcheurs Obscures, ignorant les avertissements internes qui résonnent dans ma tête. Soudain, une main saisit fermement mon bras, me tirant brusquement de mes pensées.
"Tu es malade ?! Tu veux que mon père te décapite ?!" Une voix chuchotante, mais chargée d'une urgence inquiète, me parvient. Je sursaute légèrement, et en me retournant, je découvre Jordanne, le regard empreint d'une inquiétude sincère. "Jordanne, tu m'as fait peur !" avoué-je avec un soupir de soulagement.
Elle esquisse un sourire apaisant. "Désolée, suis-moi !" lance-t-elle rapidement, m'entraînant dans l'ombre des arbres, loin des dangers imminents. Suivant son mouvement, je m'enfonce plus profondément dans la forêt, loin des frontières délimitées par la communauté. La nuit, complice de notre escapade, nous enveloppe de son manteau sombre, ajoutant une dimension mystique à notre fuite nocturne.
pacieuse et d'une propreté surprenante. L'intérieur était étonnamment grand, accueillant même un canapé-lit qui régnait en maître dans l'espace. "Henry ?" m'interpelle-t-elle d'une manière interrogative. "Oui ?" répondis-je, observant son visage avec curiosité.
Elle s'approche de moi, rapprochant délibérément son corps du mien, une aura séduisante enveloppant ses gestes. "J'ai envie qu'on fasse l'amour," murmure-t-elle doucement à mon oreille, ses paroles résonnant dans le silence de la cabane. Un frisson parcourt mon échine alors que l'atmosphère se charge d'une tension sensuelle.
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Le temps à l'imagination
FanficRecueil d'imagine sur série et film (je prend pas de commande) Mais pas que j'écris des petit one shot d'histoire imaginaire qui me passe dans la tête. J'écris aussi sur des chanteur (parfois) et acteur