Skandar Keynes et William Moseley parti 2

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(Encore du Lemon j'adore en écrire sorry not sorry)

Une heure plus tard, Skandar rentre enfin. Je m'éloigne doucement de William et me dirige vers Skandar pour lui faire un câlin et lui dire bonsoir. Skandar était au courant de ce qui se passait entre William et moi, mais il n'était pas du tout troublé par notre relation intime. Pour lui, ce qui importait par-dessus tout, c'était mon bonheur et mon plaisir, et il comprenait que notre connexion particulière était une part essentielle de ma vie.

C'était un témoignage de l'amour et du respect profond que Skandar et William avaient pour moi. Ils savaient tous les deux que ma relation avec chacun d'entre eux était unique, mais cela n'a jamais terni notre amitié. Au contraire, cela renforçait notre lien, car nous étions capables de partager nos émotions, nos besoins et nos désirs les plus intimes sans jugement ni jalousie.

Ce n'était que deux heures après m'être endormie que je fus réveillée par un cauchemar épouvantable. Dans ce rêve troublant, je voyais William et Skandar, tous deux immergés dans une marre de sang, tandis que je tenais un couteau à la main. L'horreur et la confusion m'envahissaient, et je ne comprenais pas du tout pourquoi de telles images troublaient mon sommeil paisible.

Mes cris de terreur ont réveillé Skandar, qui dormait à mes côtés. Il m'a immédiatement pris dans ses bras, me serrant doucement pour me rassurer et apaiser les frissons qui secouaient mon corps. Dans l'obscurité, il a trouvé la télécommande et a allumé sa guirlande LED, laissant la douce lueur colorée baigner la pièce.

"C'est bon, Amandine, c'est fini... Je suis là", murmura-t-il doucement, cherchant à me rassurer. Sa présence et ses mots tendres ont commencé à calmer mon esprit tourmenté. La réalité du cauchemar s'estompa peu à peu, et je pris conscience que j'étais de retour dans la sécurité de notre foyer.

Ses doigts continuaient à caresser doucement ma colonne vertébrale, créant une sensation réconfortante qui apaisait les dernières traces de mon cauchemar. Skandar posa des baisers tendres sur mes joues, et ses doigts glissèrent avec délicatesse dans mes cheveux, maintenant ma tête contre son torse robuste.

Le temps à l'imaginationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant