The Moonligt (tvd)

Chapitre cinq

- Comme tu as changé ! Me dit la chérif Elizabeth Forbes, la mère à Caroline.

- Oui c'est vrai, je me rappelle encore de toi quand tu avais quatre ans. Renchérit Carol Lockwood.

Je leur souris, un tantinet gêner.

- On va en avoir pour pas mal de temps, tu peux allez visiter. Me dit ma mère.

Je délaisse donc les adultes, qui rejoigne le maire de la ville, Richard Lockwood. Je déambule dans les couloirs, puis me rend dans une salle ou divers objets datent de 1864 sont exposer. Je trouve des journaux, des boussoles et autres objets que je trouve inutile. Soudain, je tombe sur un papier ou les noms des fondateurs de la ville sont inscrit. Je tombe sur celui de mon ancêtre, Marcus O'Neil. Mais d'autres noms attirent plus ou moins mon attention. Stefan Salvatore et Damon Salvatore. Je ne connais que Stefan, c'est peux être une histoire de famille de se donner les mêmes noms. Tout cela me turlupine plus que je ne le voudrais. Bon sang, Isabella ce ne sont que des noms ! Je m'assoie dans la salle d'attente et me passe la main sur le visage, puis dans mes cheveux bruns. J'ai toujours tendance à me faire des films pour rien. J'attends plus de deux heures, quand ma mère me rejoint enfin.

- Tout va bien ? Fis-je à ma mère qui avait une mine déconfite.

- Oui oui, vient on va être en retard au rendez-vous.

Je la suis et nous montâmes dans la voiture.

- Oh, je voulais te demander un truc.

- Oui, ma puce ?

Je pris une grande inspiration.

- Il y a une petite soirée, ce soir. Elena ma proposer, que dis-je, ma forcé à venir. Alors je voulais savoir si je pouvais y aller ?

Je vis ma mère hésiter grandement, avant d'hocher la tête.

- Tu rentreras avant minuit, par contre.

- Merci, maman.

- Je dois passer chez Zack, demain. Tu voudras venir ?

- Zack Salvatore ?

Elle acquiesce.

- D'accord.

Je crois que c'est la plus longue conversation que j'ai eue avec ma mère depuis que je suis revenu. J'ai hâte de revoir Zack. Si je me souviens bien, on passe tous les dimanches après-midi chez lui, mais jamais il n'a parler de Stefan. Ce qui m'intrigue encore une fois. Nous arrivons devant le cabinet du thérapeute, je calque la porte de la voiture, en soufflant. Ça va être très long.

*

- A demain !

Je sors de la maison tout en continuant d'enfiler mes tennis. Mon pantalon traine par terre. Je monte dans la Jeep noir que ma mère m'a gentiment prêtée, me menaçant de mort si je l'abime. Je conduis jusqu'au lieu de rendez-vous. J'aperçois enfin le petit cabanon en bois, ou il y a déjà des gens qui se roule des pelles. Je descends, remet en place ma veste noir et me dirige vers les adolescents en feu. Me dirigeant vers Elena, je me mange un torse en cours de route. Quand je relève la tête, je reconnais le frère de cette dernière.

- Jeremy !

- Isabella ?

Je le prends dans mes bras, celui-ci me rend mon étreinte. Jeremy a toujours été le petit frère que je n'ai jamais eu.

- Si tu cherches Elena, elle est avec Stefan.

- Merci.

Il me quitte, et va retrouver Vicki Donovan, qui me lance un regard meurtrier. Je détourne la tête et reprend ma course pour trouver mon amie. Je la rejoins rapidement, elle me prend dans ses bras, Stefan quant à lui, me fais la bise.

- Heureusement que tu es venue !

- Je n'ai pas vraiment eu le choix. Lui dit-je d'un ton taquin.

Elle rigole, je remarque que le bras de Stefan enroule sa taille. Celui-ci nous quitte pour aller nous chercher des boissons, j'en profite pour l'interroger.

- Tu lui plais, ça se voit à mille kilomètres.

- Tu le pense ?

- J'en suis convaincu. D'ailleurs je vais chez lui demain, ma mère doit rendre visite à son oncle. Je lui poserai des questions.

Elena me fit un sourire complice. Il revient, me tend ma boisson, puis chuchote quelque chose à mon amie. Elle s'excuse car elle doit s'éclipser. Je lève mon pouce pour l'encourager. Elle mérite enfin le bonheur. Et je sens que Stefan peut lui apporter. Je me retrouve donc seule. Je cherche du regard si Bonnie, Caroline ou même Matt, mais je ne vois personne. Soudain, alors que je me retourne, je sursaute en apercevant Vicki.

- C'est toi ?

Ne comprenant pas ce qu'elle veut dire, je l'interroge du regard.

- Isabella O'Neil. Désolé de t'avoir mal regardé, je ne t'avais pas reconnue.

- Il n'y a aucun mal, Vic.

Elle me sourit doucement.

- Alors comme ça, tu sors avec Jeremy ? Je lui demande, histoire de faire la conversation.

- Je ne sais pas si on peut appeler ça "sortir". On se drogue juste ensemble.

- Ah.

Je ne sais pas comment réagir à ça.

- Mais je dois avouer qu'il me plait bien.

Je hoche la tête, me sentant gêner. Avec Vicki, on s'ai toujours bien entendu, mais la revoir comme ça, ça me fais bizarre. Je jette un coup d'œil à ma montre, remarquant qu'il n'est que vingt-et une heure trente.

- Bon, je te laisse, je vais dans la forêt.

- Fait attention, quand même. 

Elle me lance un rire mesquin.

- Voyons, tu me connais.

Sur ce, elle s'en va, me laissant de marbre. Je pars m'assoir devant le cabanon, buvant ma boisson. Ils ont tous tellement ch anger. Une heure passe, quand Elena vient vers moi en courant.

 - Isabella ! Tu n'as pas vu Vicki ?

Elle semble vraiment inquiète.

- Il y a une heure, elle m'a dit quelle aller dans la forêt.

Elle me prend le bras, m'incitant à la suivre. Je pose mon verre à côté de moi et la suis. Nous nous mîmes à courir. Manquant plusieurs fois de tomber à cause des racines, je m'arrête soudainement. Dans la pénombre, au milieu du bois, je vois un corps.

- Elena elle est la !

Je me précipite sur elle, prenant son pouls. Elle respire à peine.

- Appelle les secours. Ordonnais-je à mon amie.

Elena exécuta mon ordre. Tout à coup, je remarquais une blessure sur son cou. Une morsure.

*

L'ambulance venait d'embarquer Vicki. Je tremblais d'effroi à l'idée qu'elle puisse mourir. Stefan nous avez rejoint rapidement, la portant. Je monte dans ma voiture après avoir dit au revoir à Elena. Je n'ai qu'une hâte, rentrer chez moi et oublier cette soirée. Ma mère ma bombarder de questions, me demandant pourquoi j'avais l'air autant chambouler. Je lui expliquer, puis épuiser, monta dans ma chambre. Pyjama mit, je sautai sur mon lit, et attendis patiemment que Morphée m'entraine au pays des rêves, loin de cette soirée horrible.