Chapitre sept

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Je toque à la porte, légèrement stresser. Je repasse un coup de main sur mon tee shirt, puis inspire. Elena m'ouvre la porte, me prenant dans ces bras.

- Contente que tu sois la, Isabella.

Je lui souris. Peut-être que ça me fera du bien de retrouver Elena. Elena saisi mon sac, et monte les escaliers, me disant d'aller la cuisine. Je vois Stefan.

- Salut.

Je lui fais la bise.

- Comment se passe ton entré au lycée ? Lui demandais-je.

- Plutôt bien, je me suis fait des amis.

Il dit ça en me faisant un clin d'œil. Je rigole.

- Et toi, tu n'es pas venu, la dernière fois ?

- Oh, ma mère ma emmener avec elle au travail, on avait une séance chez le psy.

Il hoche la tête. Elena revient, tout sourire.

- Bonnie arrive dans vingt minutes. Isabella tu pourrais nous faire la cuisine ?

- Avec plaisir !

Je regarde Elena dans les yeux, complice, elle hoche la tête.

- C'était quoi ce regard ? Rigole Stefan.

- J'espère que tu n'as pas d'allergie, Stefan.

- Pourquoi ça ?

Je pose ma main sur son épaule, lui lançant un regard confiant.

- Fais-moi confiance.

Il lève les mains, signe qu'il me laisse les rênes.

- Vient, on va mettre la table.

Elena et Stefan s'éclipse, me laissant aux fourneaux. Je commence donc à sortir les ingrédients. J'entends la porte claquer, et je sens des mains sur mes épaules.

- Tu nous fais ta fameuse quiche ? Me lance Bonnie, l'appétit dans la voix.

- Totalement.

Elle rigole, je la rejoins rapidement. Nous parlons encore un peu, quand elle s'en va parler à Elena. Soudain, j'entends la porte claquer encore une fois. Puis une voix forte parvient à mes oreilles.

- Je me suis dit que ce serai sympa de vous présenter mon copain !

C'est la voix cristalline de Caroline. Déconcentrer, je pousse un léger grognement quand je remarque que je viens de me couper. Du sang coule de ma plaie. Super. La vue du sang me mit mal. Pourtant, je n'arrive pas à détourner le regard de ma plaie, qui semble saigner encore plus. J'allais aller au robinet, quand je me pris un torse. C'est une manie chez moi, de me manger des torses ? Quand je lève ma tête, je ne m'attendais pas à tomber sur lui. Damon Salvatore. Mes yeux noisette rencontrent son regard océan. Je me sens incapable de bouger. Sa main saisie la mienne et la dirige vers sa bouche. Sa bouche ? Il se mit à sucer mon sang, tandis que mes joues rougirent.

- Damon. Lâche là.

La voix de Stefan me ramena à la réalité. Damon leva les yeux au ciel, un sourire taquin, avant de se tourner vers son frère.

- Ne soit pas rabat-joie, frangin. Regarde, elle ne saigne plus ! Rétorque Damon.

- Fini ce que tu as commencé, Isabella. Me dit Stefan.

Je retourne donc à mon coupage de dé de jambon, encore toute chambouler. Je ne saigne plus, mais une certaine douleur lancinante parcours mon doigt. Une seule chose me reste en tête. Damon et Caroline sortent ensemble.

*

- Je crois que Bonnie n'aime pas trop Stefan. Me dit Elena, assise sur son lit.

- Laisse-lui du temps.

- Ta raison.

Je lui souris, m'asseyant sur la chaise de bureau.

- Il s'est passé quoi avec Damon, dans la cuisine ? T'avais l'air toute bizarre.

Mes joues commencèrent à me bruler.

- Il m'a juste... empêcher de saigner ?

Elena plisse les yeux, essayant de déchiffrer mon esprit. On a toujours fait ça, à chercher les mensonges de l'autre. On a une capaciter incroyable à se comprendre.

- Bon, et toi avec Stefan ? Raconte-moi, un peu. Lui dis-je en voulant changer de sujet.

Elle souffle et s'allonge de tout son long sur son lit.

- Il a une ex qui s'appelle Katherine. Et apparemment, ils étaient extrêmement proche. Mais il m'a assuré que c'était y'a longtemps.

Elle continu de me parler de lui pendant plus d'une heure. Je vois bien qu'elle se sent bien avec lui, et inversement. Tant mieux, avec ce qui c'est passer, elle mérite d'être heureuse. Après ça nous nous couchons. Voilà encore une belle soirée. Ironique.


- Alors, cette soirée ?

- Intéressante. Ça m'a fait du bien de voir Elena.

- Ta jeter un coup d'œil aux archives de ton père ? Me demande ma mère.

- Je vais regarder cette après-midi. Il n'y aurait pas de vielle photo ?

- Si. Tu pourras me les rendre demain ? Je te rappelle qu'il y a le bal des fondateurs.

Mince, j'avais totalement oublié. Je monte dans ma chambre et récupère les trois cartons. Quand j'ouvre, l'odeur de renfermer et de moisissure me donne envie de vomir. Un vieux journal se présente à moi, avec comme couverture les initiales M.W.O, pour Marcus Wallace O'Neil. Je m'empresse de l'ouvrir, et commence à lire l'ouvrage. Rien de très intéressant dans c'est premières pages. Il parle d'une certaine Pearl, avec qui il s'entendais très bien. De sa fille, Anna, qu'il considéré comme sa nièce. Une parole pour John Gilbert, l'ancêtre d'Elena. Quand tout à coup, le chapitre suivant-apparemment, il aimer bien noter chaque jour "chapitre", m'intrigue. Le titre étant assez explicite. Le jour ou la mort à frapper à notre porte.

The Moonligt (tvd)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant