Chapitre neuf

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Je suis subjuguée face à la beauté des lieux. Je quitte ma mère, qui va rejoindre le maire de la ville. Je déambule, regardant les objets réunis juste pour cette soirée. Je me penche pour regarder un journal, quand je sens une main se mettre au creux de mes reins. Je me redresse rapidement, avant de voir Damon.

- Wow. Fit-il en haussant ses sourcils.

- Tu n'es pas avec Caroline ? Je lui dis, en croisant les bras.

Même si je dois avouer que Damon est totalement mon genre de mec, il est avec Caroline. Jamais je ne me permettrai de me mettre en travers de leur relation. Aussi étrange soit-elle.

- Tu sais.

- De quoi ?

Il s'empare de mon bras, et commence à le serrer.

- Arrête de jouer les mijaurées, ton manège marche peux être avec Stefan, mais moi tu ne m'auras pas.

Il me tirer vers la sortir, alors que j'essaie tant bien que mal de me dégager de sa poigne.

- Damon tu me fais mal.

- Je n'en ai rien à faire.

Nous atterrissons derrière le bâtiment, à l'abri des regards indiscret, ce qui m'inquiète. Il me lâche enfin, puis se met en face de moi. Je masse mon bras, alors que je tente de m'enfuir en courant, il me rattrape, avec une vitesse inhumaine. Il me maintient devant lui, ses mains poser sur mes épaules.

- Tu me fais peur, Damon.

- Tant mieux.

Sa mâchoire se contracte fortement.

- Qu'est-ce que tu sais, exactement ? Et ne tente pas de me mentir.

Je déglutis. J'ai peur de ce qu'il pourrait me faire.

- Je sais que toi et Stefan vous n'êtes pas humain.

Sa prise sur mes épaules se raffermit.

- Alors tu sais, que ta vie ne tient plus qu'à un fil ?

Je hoche lentement la tête.

- Quel âge à tu ? Lui demandais-je, ma voix tremble.

- Vingt-quatre ans.

- Depuis combien de temps ?

Damon soupir, ennuyer.

- Depuis longtemps. Mais maintenant, il me regarde droit dans les yeux, tu vas tout oublier. Oublier que mon imbécile de frère et moi sommes des vampires.

Je fronce les sourcils. A quoi joue-t-il ?

Pourquoi tu veux que j'oublie ?

Maintenant, se sont ses sourcils qui se froncent. Il baisse son regard sur mon collier.

- De la veine de venus. J'aurais dû m'en douter.

Sa main empoigne mon cou, qu'il serre. Je commence à suffoquer.

- Si t'en parle à qui que ce soit, je le serais. Et à moins que tu sois suicidaire, tu ne le feras pas.

Il me lâche, je m'effondre au sol.

- Marika, elle, elle était plus combative que toi.

Sur ceux, il s'en va. Les larmes me montent aux yeux. J'été terroriser. Je reste là, assise, à essayer de mettre en place mes idées. Je ne dois plus approcher les frères Salvatore, je dois prévenir Elena.



- Je ne t'ai presque pas vu de la soirée, ou était-tu ?

- Dehors. J'étouffer à l'intérieur. Répondis-je à ma mère, en montant les escaliers.

- Bonne nuit.

Je lui murmure la même chose, puis m'enferme dans la salle de bain. Je prends rapidement ma douche, me brosse les dents, puis saute sur mon lit. J'ai envie de hurler. Trop d'information vienne en même temps dans mon esprit. Qu'il y a des vampires à Mystic Falls, qu'Elena à un double d'elle en 1864, que j'ai moi aussi un double vampirique. J'ai l'impression que mon crâne va exploser. J'ai chaud. J'ouvre ma fenêtre, et apprécie l'air frais qui viens à la rencontre de mon visage. Je retourne dans mon lit, quand un courant d'air plus intense fais voler mes cheveux. Je me retourne rapidement, pour découvrir Stefan.

- Damon ne ta pas fait de mal ?

- Non, il m'a simplement menacé.

Stefan s'assoit sur ma chaise, passant sa main dans ses cheveux.

- Je suis vraiment désolé.

- Ce n'est pas ta faute.

Nous parlâmes encore, je lui fis par de mon envie d'en parler à Elena, mais il m'a dit qu'il compter bientôt lui en parler. Quand il partit, je m'allongeai sur mon lit, tripotant nerveusement mes bagues. Je dois dormir, j'ai lycée demain. Pourtant, je n'arrive pas, le visage glaçant de Damon prenant place dans mon esprit, à chaque fois que je ferme mes paupières.

*

- Le sexy car wash ?

- Oui, tout le monde y participe, alors toi aussi Isabella ! Me dit Caroline, un grand sourire sur le visage.

- Je dois me mettre en maillot de bain ?

- Bien sûr ! Sort ton plus beau bikini !

Elle me tend l'affiche, avant de partir en sautillant.

- Bah dis donc, elle m'a l'air bien contente.

Elena me rejoint, accompagné de Bonnie.

- Vous allez y aller ?

- Oui, ça va être drôle. Me répond Bonnie.

- Au fait on va au Mystic Grill, ce soir. Tu viens avec nous ?

- Je n'aurais pas le temps. Je dois aider ma mère à repeindre le salon.

Elena hoche la tête. Elle aperçoit Stefan, et le rejoins. Je suis encore retourné. Je me dirige vers l'infirmerie ou je passe la plus grande partie de mon après-midi. Quand je sors enfin, ma tête me fais toujours un mal de chien. Je n'ai qu'une hâte : rentré chez moi et dormir. Je claque la porte, mais je sais que je suis seule. Caitlyn finit son travaille à dix-neuf heure trente. Pour me remonter un peu le moral, je branche la radio et monte le son au maximum. J'essaye de décompresser, alors je me mets à me trémousser dans tous les sens. Je chante, rigole. Pour une fois, j'écoute la petite voix dans ma tête. Tout en dansant, je prépare mon maillot de bain pour demain. Un haut noir à nouer avec un short en jean troué. Je ne veux pas en faire trop non plus. Deux heures plus tard, après avoir mangé et préparer, ma mère rentre, son pot de peinture blanc dans la main. Elle prend l'assiette que je lui avais préparer et dine rapidement. Elle troque ensuite sa chemise et son pantalon classe pour un long tee shirt avec marquer Nirvana et un short de sport.

- Allons- y, jeune fille.

On protège les endroits qu'on ne veut pas peindre, puis nous commençâmes notre travaille. Disons plutôt que j'ai plus peint ma mère que le mur. 

The Moonligt (tvd)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant