The Moonligt (tvd)

Chapitre huit

Je m'asseyais confortablement dans mon lit, prête à lire les passages suivants. Cependant, je froncis les sourcils. Le premier passage de ce texte était... étrange.

"1864. Guiseppe veut enfermer des vampires dans une crypte. Des vampires ! Je le croyais fou, mais quand j'ai découvert l'identité de Pearl, j'ai été terroriser. Devais-je laisser mon amie se faire enfermer, ou me rebeller ? J'ai fait mon choix. Je connais Guiseppe depuis tellement d'année, je l'ai laissez m'embrumer l'esprit. Je regrette. J'ai aidé Anna à sortir de la ville, accompagner d'Emily. Mais d'après cette dernière, Katherine aurait réussi à s'enfuir. Cette petite cacher bien son jeu. Mais je ne peux leurs en vouloirs, toutes ces personnes été mes amis. J'ai essayé de parler à Stefan, mais rien n'y fait, il ne voulait pas me parler. J'ai toujours trouvé que Stefan était le plus raisonnable des deux frères Salvatore. Maintenant, ils sont morts, Guiseppe aussi, je me retrouve donc seul, avec pour seul compère Jonathan. Que faire ? Je ne sais pas, je sais simplement que je m'en voudrais toute ma vie. Pearl, oh très chère Pearl, je t'ai toujours aimé, j'espère que nous nous retrouverons dans une autre vie. M.W.O."

Je ne comprends rien. Il devait être malade pour s'imaginer toute ces choses. Je passe le reste de la soirée à feuilleter le journal de Marcus, mais il repete toujours la même chose. Son amour incontidionel pour Pearl, la tristesse de la mort des Salvatore, sa propre folie. Quand je regarde l'heure sur mon réveil, je vois qu'il est minuit passé. Mon ventre gargouille, alors je descends pour me cuisiner des pâtes, en étant toujours dans la lune. Le nom de Katherine a retenu mon attention. D'après les dire d'Elena, ce serais l'ex de Stefan. La coïncidence est beaucoup trop folle ! Il doit forcément y avoir une explication logique dans tout ça. Mais la seule façon d'être fixé, c'est de regarder les vieilles photos de 1864. Je me dépêche de finir de manger, fais la vaisselle rapidement et monte les escaliers quatre à quatre. Je saisi le carton photo, que je m'empresse de vidé. La première photo que je prends, c'est celle de Marcus, accouder au côté de Jonathan, leurs initial sont marquer en bas de la photo. Je passe plus d'une heure à regarder chaque photo en détaille, mais je ne suis tomber sur aucun portrait des frères Salvatore. Agacer, je passe rageusement ma main sur tas, faisant tomber les photos. Soudain, une photo attire mon attention. Je me penche et la prend. Une photo des habitants de Mystic Falls. Mon regard se pose automatiquement sur le visage de Stefan et Damon. Mon sang ne fit qu'un tour, tandis que des sueurs froides prennent possession de mon corps. Mais un autre détaille encore plus flippant me saute aux yeux. Le visage d'Elena. A côté de Stefan. Je lâche la photo, les yeux écarquiller. Je saisi à grande vitesse mon ordinateur, et tape sur Google, "jeunesse éternel". Je me sens vraiment ridicule de faire ça, peut-être est-ce juste un peur hasard. Mais je ne crois pas au hasard. Je tombe sur tout un tas de terme, mais un seulement retient mon attention. Vampire.

*

Je regarde Stefan passer devant moi, main dans la main avec Elena. Ma gorge se noue. Je ne sais pas si ce sont des bêtises ou si c'est bien réel. Mais je vais bientôt en avoir le cœur net. Je sors, suivant de près le nouveau couple. J'attends qu'il se sépare, Elena monte dans sa voiture et s'en va. Je me précipite alors sur Stefan, qui dois me prendre pour une cinglée.

- Je dois te parler. C'est urgent.

- Bien sûr, viens.

On va s'assoir à une table un peu à l'écart. Il me regarde droit dans les yeux, me déstabilisant.

- Je sais que tu risques de me prendre pour une folle, ce qui est totalement normal. Je crois que je perds la tête, mais j'ai besoin de savoir.

- Isabella, respire.

Je prends une grande inspiration, puis me lance.

- J'ai fouillé les affaires de mon ancêtre, Marcus O'Neil. Je suis tombée sur son carnet, que j'ai lu, le visage de Stefan ce décompose, et sur des photos. Il y a ton portrait cracher, celui de Damon et, par je ne sais quel moyen, celui d'Elena. J'ai besoin de comprendre, Stefan. Est-ce que vous êtes, des... des vampires ?

Stefan se tourne à droite à gauche, avant de se pencher vers moi.

- A qui la tu dis ?

- Personne, enfaite j'espérer que tu me contredises et que tu me traite de folle.

- Non tu as bien raison. Ton esprit de déduction est surprenant. Viens avec moi.

Il saisit mon bras et me tire. Nous marchons jusqu'a chez lui.

- On pourra parler tranquillement, comme ça.

Nous montâmes dans sa chambre, qu'il ferma. Il me tend une photo, et je vois le visage d'Elena.

- Mais c'est...

- Lis le prénom.

Katherine.

- C'est elle, sur la photo de groupe. Mais pourquoi ressemble-t-elle autant à Elena ? On dirait des jumelles !

- Ce que tu ne sais pas, c'est qu'il y avait une personne qui te ressembler tout autant.

Ma bouche s'ouvre, tandis que mes sourcils se froncent. Comment ça ?

- Elle s'appelait Marika, Marika Pierce. La sœur jumelle de Katherine. Elle te ressemble autant qu'Elena ressemble à Katherine. Malheureusement, elle est morte sous nos yeux, en 1864. Elle s'est fait bruler, parce que c'était un vampire.

- Je...

- Ne t'en fais pas, ta rencontre nous a troubler, à Damon et à moi.

- Alors vous êtes vraiment, immortel ?

- Oui. Tu dois garder le secret et n'en parler à personne.

- Pas même à Elena ?

- Je lui en parlerai moi-même. M'affirma-t-il.

Toute c'est révélation me bouleverse.

- Pourquoi Marika n'apparait sur aucune photo ?

- Elle n'aimer pas être prise en photo, elle préférer les prendre.

Stefan eu une voix nostalgique.

- Tu devrais y allez, le bal des fondateurs va bientôt commencer.

Le bal ? Le bal !

- Merde, j'avais oublié ! Ma mère va me tuer !

Stefan rigole. Je ne me sens pas plus perturber que ça finalement. Je descends rapidement les escaliers.

- On se voit ce soir ? Demandais-je à Stefan.

- Oui, rentre bien.

Je ferme la porte et cours. Si je suis en retard, ma mère va me dépecer vivante.

*

- Tu es en retard ! Ta robe t'attend, tu as dix minutes.

- Oui cheffe !

Je me déshabille en vitesse, et regarde la robe. J'ouvre la bouche. C'est une robe bleu foncé, en bustier, plutôt longue. Je n'ai pas pour habitude de porter des robes. Je l'enfile, met les petits talons, et descend en courant, manquant de me casser la figure au moins trois fois.

- Ma puce, tu es...sublime. Me dit ma mère, ne cessant de me regarder.

- Merci, maman. Tes pas mal non plus.

Ma mère à revêtit un tailleur pantalon. Nous montons dans la voiture, alors que ma musique préférer passe à la radio.

- C'est ma musique préférer !

- C'est ma musique préférer !

Ma mère et moi nous regardons, avant d'exploser de rire. Je monte le son, puis commence à chantonner les paroles. Aléatoirement, bien entendu.