Chapitre 6

34 3 0
                                    

Je me réveille avec un mal de crâne pas possible, je me rappelle de ce qui c'était passer. Je me lève d'un coup, je regarde tout autour de moi, je pourrais reconnaître cet endroit entre mille.

{Merde}

Je vois que j'ai une jambe menottée, je soupire, je vais vers la petite fenêtre, je vois que je suis de retour dans mon pays.

{Oh non}

J'entends la porte s'ouvrir, je m'éloigne de la fenêtre. Ma mère entre dans la tour.

Mère : Tu as voulu t'évader, mais on t'a retrouvé, on a mis du temps, mais on t'a retrouvé.

Elle s'approche de moi.

Mère : On te retrouverait toujours.

M: Je te déteste !

Elle m'en met une, je fronce les sourcils.

M: Quoi ? Tu vas me frapper pour me faire regretter d'être partie ?

Mère : Pas moi, mais lui si.

Elle va jusqu'à la porte, elle frappe deux fois à la porte, un homme entre dans la pièce.

{Oh non pas lui}

À chaque fois que j'ai essayé de fuir et qu'ils m'attrapaient, ils m'enfermaient ici en haut d'une tour du château et ils le faisaient rentrer, il me frappait jusqu'à être en sang au sol. Pour ma mère, c'est un moyen pour que j'obéisse.

Je regarde ma mère.

M: T'es même pas capable de faire le sale boulot donc tu appelles quelqu'un. T'es vraiment une minable.

Ma mère regarde l'homme.

Mère : Donne lui une bonne leçon.

H: Comptez sur moi majesté.

Je la hais, non, je les hais de tout mon être. Il s'approche de moi et il me donne un coup de poing, je tombe au sol. Je me relève, je vois ma mère avec un grand sourire, je donne un coup de poing à l'homme puis je lui fait une prise comme Natasha, il tombe au sol. Je vais vers ma mère, son sourire l'a quitté, j'allais lui donner un coup sauf que je sens ma cheville aller vers l'arrière. Je suis au maximum, elle sourit fièrement.

Mère : Tu ne me toucheras pas.

Je recule, je prends appui sur ma jambe qui est menotté puis je lui donne un coup de pied contre sa joue avec l'autre pied. Elle tombe lourdement au sol.

M: Sa t'apprendra.

Je sens qu'il prend la chaîne et qu'il tire en arrière, je tombe au sol et je me fais tirer en arrière.

Un mois plus tard

L'homme de la mort comme on l'appelle avec Seb arrive. Je suis dans un sale état, il entre dans la chambre, on est en pleine nuit.

H: Salut ma beauté, je suis venu te faire un petit coucou

M: Va te faire enculer connard !

H: Je vais devoir te donner une correction pour ton langage.

Il se rapproche de moi, je reste allonger dans mon lit. Il se met sur moi.

H: Tu sais, je t'ai toujours trouvé mignonne.

Je lui donne un coup de poing ainsi qu'un coup dans ses parties.

H: Sale pute !

Je le pousse sauf qu'il me prend par la gorge, je me débats, je lui mort le bras jusqu'au sang. Il me lâche en criant, je me lève et je cours loin de lui.

Une double vie RoyaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant