Une garde du corps

Chapitre 26

Je me réveille tranquillement, je jette un coup d'œil au réveille et voir qu'il est presque 7h30, sentant une présence à mes côtés, je me tourne et voie Dario dormir. L'observant, je me dis que je pourrais arrêter de faire la tronche, c'est vrai quoi, je suis là pour bosser pas pour étaler mes états d'âmes. Si je ne veux pas que ça aille jusqu'au mariage, à moi de m'arranger pour terminer au plus vite la mission. Ouais, se faire la tête n'aidera personnes et ça créera des tensions pour rien, donc je prends sur moi pour relativiser et sortie du lit. Je vais aller préparer le petit-déjeuner pour m'excusez, j'espère que cela sera suffisant.

Allant vite fait dans la salle de bain pour utiliser le petit coin et me débarbouiller, j'enfile un kimono et sort discrètement de la chambre. Je me rends dans la cuisine où Grisela et Gladyss sont déjà à la tâche.

- Bonjour, je dis.

Les deux relevèrent leurs têtes surprises de ma venue, Grisela essuya ses mains sur un torchon et en posa une sur mon front ce qui me fit rire.

- "Je vais très bien et je viens vous donner un coup de main", je dis en signant.

- "Retourne dormir Alana", me dis Gladyss.

- " Non ça ira, j'ai assez dormi. Alors que puis-je faire ?"

Les deux sœurs se coule un regard puis me souris en me confiant la préparation de la pâte ainsi que des pancakes. M'attelant à la tâche, nous discutons du programme de la journée.

- " Je n'en sais rien, à voir avec le patron" je leur dis.

Elles hochent la tête en me lançant quelques regards et au bout de cinq minutes à les ignorer, Grisela craqua.

- Raconte-nous, ce qu'il s'est passé hier avec Mr Lazari.

Je commençai à leurs expliquer en signant et je fis quelques pauses pour continue à préparer la pâte puis une fois terminer, elles hochèrent la tête d'accord avec moi. Tandis que je préparer une poêle avec du beurre.

ENFIN.

Cela me fit plaisir de savoir que deux personnes comprenaient mon refus et mes raisons puis je leurs dis qu'au finale j'étais là pour travailler et que je devais me plier aux choix de Dario, que je n'avais techniquement pas mon mot à dire mais Gladyss pouffa en signant.

- "Là, tu joues la victime".

Bon elle à un peux raison mais je ne peux pas faire autrement que de me rappeler ma place. Je ne suis pas sa vraie fiancée mais sous couverture pour assurer la protection de Dario. Une fois que chacune de nous ai terminer nos tâches, nous allons mettre la table dehors et allons déposer la nourriture sur celle-ci. En consultant mon portable, j'entendis la sonnette et vis 8h30 ce qui est curieux. Peu de personnes viennent à cette heure-là. Voyant Gladyss aller ouvrir, je la suis de près au cas où.

Je fus surprise de voir une belle femme blonde, élancer et percher sur des talons derrière la porte. Sans saluer Gladyss, elle entra sans autorisation donc je m'approchai quand Gladyss me lança un regard pour venir à son secours. Je bloquai la femme avant qu'elle n'arrive au salon.

- Excusez-moi, j'entame. Qui êtes-vous ?

- Une très bonne amie à Dario et vous ?

Avec la façon hautaine dont elle vient de me parler, me fait froncer des sourcilles et derrière elle, Gladyss me prévient discrètement que c'est une ancienne maîtresse. OK, me voilà à confronter des problèmes inutiles, pour lui faire bien comprendre, je levai ma main gauche là ou reposer ma bague de fiançailles. Son visage vit rouge et avant de pouvoir cracher son venin, du bruit attira notre attention.