Chapitre 35

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La balle se loge entre ses deux yeux et il s'écroula sans attendre. Un sourire satisfait étire mes lèvres quand je pointe le gars toujours derrière son volant puis tire à rafale jusqu'à briser le pare-brise pour le tué. Bon ce n'est pas des vitres blinder en tout cas.

Pfff, gros nul.

Je me moque mais en attendant, je n'ai plus de balle dans le chargeur, tant pis je me dis en lâchant l'arme au sol. Du bruit attire mon attention sur l'avant de la voiture et je refoule un cri d'énervement quand des hommes tente de forcer les portières de la voiture, courant vers celui près de Dario, je lui donnai un coup de pied dans le genou se qui le fit ce mettre à genoux et sans attendre, attrape son cou pour lui briser les cervicales.

Une penser pour Alyssa me vient car je sais qu'elle adore cette méthode radicale.

Le second homme vient vers moi donc pour avoir plus de visibilité, je me déplace devant les phares de la voiture, le gars me regarde de haut en bas ne semblant pas y croire.

- Je penser pas que la nana de Lazari savait se battre, râle-t-il.

Je rigole en allant lui balancer mon poing dans le visage. Surpris il se laisse atteindre mais je n'eus pas autant de chance pour le deuxième coup, il bloqua ma jambe et je ne semble pas vouloir la lâcher.

- Tu me tiens bien ? je demande avec un petit sourire.

- Oh oui, tu ne risques pas de partir.

Sachant ce que je voulais, je pris de l'élan avec ma seule jambe puis fit comme un salto arrière, surpris il me libère, me permettant de me réceptionner sur mes deux pieds mais en voyant Dario se redresser alarmer, je me baisse attend pour éviter la barre de fer qui frôle mon dos. Lui envoyant mes jambes dans la tête en posant mes mains au sol, je l'étourdis assez pour pouvoir me redresser sans crainte mais intercepte le coup poing de l'autre que je bloque de mes bras. Lui donnant un coup de pied au visage il recula énerver.

- Putain, je n'arrive pas à la toucher.

- T'inquiète on va l'avoir, elle ne doit pas être si forte, lui répond son collègue.

Souriant en les regardant tour à tour, je les taquine.

- Alors qui en veut encore ? 

Après quelques secondes d'hésitation, ils attaquent en même temps et quand je donnai un coup à la gorge à celui de devant et un coup de pied à celui de derrière, je sortie mon couteau et le place devant moi prête à en finir. Le premier arriva en essayant de me le prendre mais je fis passer la lame entre mes doigts puis la rattrapa avec mon autre main avant de le planter dans le cou. Entendant les pas du deuxième venir, je le laissai s'approche suffisamment pour mettre ma lame en arrière pour le planter et je réussis à atteindre les côtes. Vu que j'ai gardé mon arme quand il est tombé, une mare de sang se fait autour de lui et je crois avoir toucher un organe vital. Regardant les corps sans vie des hommes, je donnai quelques coups de pieds histoire de m'en assurer. Une fois sur, je soupire en mettant mes cheveux en arrière puis la portière de la voiture s'ouvrit et Dario sortie en trombe pour s'approcher de moi. Il palpa mon corps à la recherche d'une blessure mais je suis irréprochable. Levant mes mains en l'air ainsi que mon couteau plein de sang, je lui fit un signe de "RAS". Soulager, il embrasse mon front en soufflant.

- Je suis content que tu n'es rien.

- Ne t'inquiète pas, les blessures ne sont pas monnaie courante chez moi.

Une voiture arriva en trombe et les phares m'éblouis donc je ferme les yeux jusqu'à que la voiture dérape et que la personne sorte sans couper le moteur.

- Bordel, il se passe quoi ici ?

Reconnaissant la voix de Marcus, je sors des bras de Dario en pointant mon couteau vers lui.

- A ton avis ? Dario à demander du renfort non ?

- Oui, oui bien sûr.

Qu'elle menteur celui-là.

Quand Dario, s'avança pour lui parler, une porte coulissa donc, je me tourne vers le Van pour voir un gars nous viser de son fusil, je couru pour plaquer Dario au sol et des tirs se font. Marcus sortie son arme en se planquant derrière notre voiture et une fois accroupis, je fis signe à Dario de remonter discrètement dans la voiture jusqu'à que les vrais renforts arrivent. Même s'il n'est pas chaud à me laisser avec Marcus il obtempère. Franchement, je suis surprise qu'il m'écoute sans brocher plus que ça, je m'attendais à devoir lui crier dessus ou l'assommer moi-même pour le mettre en sécurité mais Angélo à du le briffer sur ma façon de bosser d'où le fait qu'il écoute quand c'est nécessaire.

Heureusement tu me diras puisque je suis là pour le protéger.

Une fois en sécurité et que Marcus le remarque, il me jette un coup d'œil mais je suis déjà à quatre pattes pour aller zigouiller le gars cacher derrière la portière du van. Le manche du couteau dans la bouche, j'arrive près du but tandis que l'autre me cherche mais je voie Marcus allumer une lampe torche et la pointe près de moi puis la décale dans ma direction. Rageant, je m'allonge puis me roule sous la voiture pour sortir de l'autre côté. Dario me voie sortir en soupirant. Je lui souris avec un clin d'œil en reprenant mon ascension puis en arrivant derrière le gars sans bruit, je lui tranchai la gorge d'un mouvement sec. Faisant rayer mon couteau sur la carrosserie du van, Marcus dévia sa lampe sur moi. Voyant le gars au sol, il sembla surpris.

- Waouh, bien jouer.

- Merci.

Des voitures arrivèrent à pleine balles et je retiens un sourire en sachant que c'est les renforts. Les vrais cette fois hein. Quand je me concentre sur Marcus, je voie son arme me pointer. Il croit me faire peur ? Lui semble avoir peur car il transpire et ne semble pas serein.

- Tu penses pouvoir me tuer ? je demande.

- Tu ne m'en croit pas capable ?

- Montre le moi, je le provoque.

J'aime provoquer car je sais que cela les déstabilise en même temps que la peur paralyse leurs nerfs. M'approchant de quelques pas, je me stop quand le pistolet s'arrête sur ma poitrine. Des voitures dérapent et des portes claque quand le coup partie.

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Chapitre 35 terminer.

Bisous.

Marion.


Une garde du corpsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant