RAVEN

Chapitre 5

On me transfère dans une autre pièce. J'arrive dans un bureau. J'imagine que c'est celui de Dean... Je m'assois sur la chaise en face du grand bureau en bois, et l'homme qui m'as accompagné me demande d'attendre que son chef arrive. Je fait oui de la tête et regarde plus attentivement la pièce dans la quelle je me trouve. Il y a au dessus du bureau le même blason que je porte autour de la taille. Sur le côté droit de la pièce il y a une grande bibliothèque qui contient pas seulement des livres mais aussi des armes et des tableaux de peintres très célèbre il y a même du Picasso!! Sur le mur de gauche se trouve un grand tableau avec en son centre le visage d'un homme âgé très âgé... Il regarde droit devant, sur de lui, il respire la confiance en lui. J'ai a peine le temps d'apercevoir quelque chose briller dans ses yeux que la porte s'ouvre doucement ce qui la fait grincer. Dean rentre dans le pièce et ferme la porte derrière lui, il marche vers la chaise qui se dresse derrière le bureau et s'assoit. On se regarde pendant plusieurs secondes sans dire un mot en se dévisagent. Il fini par prendre la parole :
- Un marché est un marché donc je vous propose de remplacer mon garde du corps et je vous offre également un logement ici dans le Q.G vous y serez en sécurité, également la nourriture et le téléphone portable.
Je ne dis rien tout en gardant mon air froid et meurtrier.
- Je ne veux pas de votre poste ! Je veux juste que vous me rameniez la où vous m'avez trouver ! Dis-je sans le plus grand des calmes.

- Vous n'avez pas le choix a présent la population vous a vu me fréquenter, vous êtes recherchée dans tout le pays .
Je le regarde avec des yeux ronds. Comment se fait il que je sois recherchée dans tout le pays c'est parce que j'ai tuée cet homme sur le toit de l'immeuble ? Impossible c'était de la légitime défense.
- Et pour quoi cela ? Lui demande ai-je .
- Car je suis un chef de gang et a partir du moment où l'on commence a me fréquenter plus personne ne vas t'accorder d'attention sauf moi, si tu m'est utile bien sûr.
- Et si on vous est inutile vous faites quoi de nous ?
- Je vous remet en liberté mais vous serez traquée tout votre vie sans ma protection. Votre vie ne seras plus jamais la même a partir de maintenant.
Je le dévisage avec tellement de haine que maintenant c'est décidé je vais le détester jusqu'à la fin.
- J'imagine que je n'ais pas vraiment le choix... J'accepte. Ces mots me brûle la langue. Je sais très bien que sans lui. Je serais pourchassée partout jusqu'à ma mort. J'aurais dû le laisser crever !!!