25 jours pour que tu m'aime | RusAme |

Chapitres 25-FIN

Après des mois de page blanche pour cette histoire, me voilà avec le dernier chapitre !

Bonne lecture

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Lundi 25 décembre
00h01

Pdv-America

Je me fige à l'entente de ses mots.

Moi : Attend ta dis quoi ?!! T'étais au courant depuis le début !?

Russia : Ton frère m'a tout dis le jour ou j'ai voulu lui casser la gueule à cause du plan, tu sais celui où t'avais dis qu'il l'avait créé pour sortir avec ma sœur, mais enfaîte c'était toi.

Bon, je m'attendais clairement pas à ça- déjà, je vais défoncés mon frère, après je vais m'enterrer six pied sous terre car c'est beaucoup trop horrible de vivre en sachant que Russia savait tous depuis le début. Mais soudain je tic sur un truc.

Moi : Attend- Ta voulu défoncés la gueule à mon frère ?

Russia : ...

Moi : La prochaine foie, fais le. Il le mérite bien se petit traître.

Je croise les bras, souriant comme à mon habitude, je remarque Russia regarder son bras, plus exactement sa montre.

Russia : Il est déjà minuit, on devrait rentrer.

Moi : ouais... mais avant

Je lui tire son col de chemise vers moi, sans attendre je pose mes lèvre sur les siennes dans un baiser court mais tous aussi passionné. Russia me regarde ahuri, il ne pensé sûrement pas que j'oserais faire ça, et moi aussi, d'ailleurs je sens mes joue chauffée, je dois être rouge.

Moi : J'ai bien failli mourir pour se plan, je méritait plus d'un b-baiser

J'entends Russia rire, il se fout littéralement de ma gueule, devant moi.

Russia : Ouais, tu mérite plus d'un

Pdv-Urss

Urss : Tu peut pas faire attention Reich !

Reich : Tu n'a qu'a le faire toi même !

Je grogne légèrement alors que Reich passe des bandage autour de mes blessures, bien sûr se salaud ne fais même pas attention à y allez délicatement.

Urss : Sérieusement, si c'est pour me traiter comme ça fallait me laisser crevé.

Reich : Je te nourri, soigne et loge connard, te plaint pas.

Urss : Tss- pourquoi tu m'a aider ?

Reich : Car tu me faisais pitié.

Urss : T'es vraiment une ordures de la pire des espèces Reich, tu le sait ?.

Reich : Alors on est deux ordures, monsieur je maltraite mes enfants.

Je soupire et le pousse du lit une foie qu'il a fini de faire mes bandage, sans surprise il répond à mon geste avec une insultes. Reich me balance mon t-shirt sans aucune délicatesse en plein visage avant de remonter sur le lit.

Urss : Merci, Reichy.

Je le voie froncer les sourcils à son surnom, il lâche un petit grognement.