XV- Paris.

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Je sentis du mouvement.
Après quelques secondes j'ouvrais les yeux et constate avec surprise que nous étions arrivés. Kurenai, Asuma et Gaï étaient entrain d'essayer de nous réveiller.

Quand je pris conscience enfin d'où je me trouvais et ce fus l'incompréhension qui me prit.

J'étais totalement paumé dans ma tête en voyant que j'étais dans les bras de Kakashi et qui lui-même était aussi dans mes bras.

Gaï appelle plusieurs fois Kakashi qui grogna et ressera sa prise sur moi montrant son désaccord de se réveiller se qui me perdis encore plus.

Il finit par ouvrir subitement les yeux quand Gaï dit de façon exagéré pour être sûr qu'il entende.

- Bon eh bien si tu veux pas te réveiller... Dans ce cas on t'abandonne là tout seul et je partirais avec Anna !

Il bondit et le toisa d'un regard noir, il finit par tourner la tête vers moi.

Moi... bah comment dire que j'étais rouge pivoine depuis un moment.

Je tourne la tête de gêne pour éviter son regard, qui dans lequel je crus voir une lueur que je ne saurais expliquer.

On finit par descendre du train. Et quitter le quai, pour ce diriger vers l'extérieur de la gare.

Il était très tôt et presque personne n'a dormis correctement.
La fatigue et le froid hivernale me convain rapidement pour appeler un chauffeur.

Nous attendons donc devant la gare dans le froid.
J'étais habillée de façon assez chaudement pour résister au froid qui s'abat sur Paris.
Les autres étant un peu moins couvert que moi, Asuma enveloppa Kurenai dans son manteau pour qu'il est chaud. Et Gaï lui se mit à faire des step sur un banc pour se réchauffer.
Quand à Kakashi, il paraissait impassible. Seulement étant habillée d'un simple pull over à col roulé noir, d'un sweat à col blanc qu'il avait laissé ouvert, d'un pantalon droit noir et d'un manteau long seulement. Je savais que face à cette température négative: -3°. Il ne pouvait pas avoir vraiment chaud.

Je l'observe un moment avant d'enfin apercevoir c'est petit tremblements pratiquement invisible.
Je décide donc alors de me placer devant lui et de retirer mes gants et de le lui tendre.

Il me regarda sans comprendre, faisant des allée retour entre les gants et moi.

- C'est pour toi. Ils sont trop grand pour moi donc j'ai toujours les mains froide mais ils seront sûrement à ta taille. Lui dis-je en secouant les gants pour qu'il les prennes.

Et avant qu'il ne dise quoique ce soit. Je réplique.

- J'ai vu que tu tremblait et de toute façon y a qu'à voir ta tenue pour le comprendre... Et j'en ai pas besoin de toute manière.

Il les prit et les mit.
Je retira quand à moi tellement vite mon écharpe qu'il ne vit rien. Je lui mit l'écharpe autour du cou et ouvrit mon blouson.

Je suis sans doute bien plus petite que lui mais je peux le réchauffer moi aussi comme il l'a fait ce fameux jour.

Je lui demande donc d'ouvrir ses bras, dont ses mains se trouvaient déjà dans leurs poches.
Mai ils le fit, un peu perdu alors qu'il allait me demander ce que je faisais.
Je me blottit contre lui, mains dans les poches en l'entourant de mon manteau bien qu'il plus grand que moi.

Il ne réagit pas, ou du moins, il ne me repoussé pas.
Je releva la tête et je revue ses petite rougeurs si mignonnes causée sûrement par le froid. Il ne disait rien et finit par me serrer fermement contre lui.
Sa tête était à côté de mon oreille.

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