Point de vu de Maria
Si Saphir s'est déguisée pour rentrer au palais, cela voudrait donc dire que cette vieille que j'ai croisé dans le couloir tantôt, était donc elle. En même temps j'aurais dû m'en douter, non seulement car j'avais l'impression de la connaître, mais aussi parce qu'il n'y ait aucune femme de cet âge aussi avancé ici. Enfin, ça ne fait rien, de toute façon se lamenter ne va rien changer au fait.
Ce qui compte maintenant c'est la retrouvée, il en est hors de question que je la laisse une fois de plus voler notre bonheur, non, après tant d'année, mes parents ont enfin pu être ensemble, ils se sont mariés. S'ils perdaient leurs petit fils maintenant, ce bonheur se transformera en cauchemar. Je suis sûre qu'ils penseront que c'est de leur fautes, que c'est à cause de leur amour que saphir a fait tout cela.
Et Arès, mon Arès ne supportera pas cette douleur. Non, je dois à tout pris empêcher cela, je me reprends en sentant la panique s'emparer de moi. J'arrête donc de réfléchir et augmente ma vitesse, étant entrant de courir derrière Saphir. J'ai préféré ne rien dire aux autres, non seulement par-ce que le temps que je les prévienne, Saphir se serait volatiliser, mais aussi parce que je ne veux pas gâcher ce jours si important pour mes parents, non, je vais devoir régler cela toute seule, et cette fois ci, pas de pitié ni d'hésitation envers elle.
Je vais tuer cette femme aujourd'hui, il est hors de question que je la laisse vivre, non, ça serait lui donnée une chance qu'elle revienne encore une fois nous rendre la vie misérable. De toute façon, c'est pas comme si elle allait manquer à quelqu'un. Je suis sûre que sa mort ne sera une perte pour personne, au contraire, tout le monde y sera soulagé.
Je cours étant maintenant dans la profondeur de la forêt, arrivé à un endroit qui mène à deux chemins distinctes, Je ralentis. Je m'arrête et ferme les yeux, je commence par ralentir le battement de mon coeur pour pouvoir écouter celui de mon fils. Quand c'est fait, je promène mon oreille et finis par capter le battement de son coeur. je recouvre les yeux et commence à courir, en prenant le chemin à ma gauche.
Je cours en passant à travers les arbres, je sais qu'ils sont tout près, il faut que je les retrouve avant qu'elle ne lui fasse du mal. Quand je contourne un arbre, je m'arrête dans mon élan en la voyant,...Saphir. Elle était de dos, je ne pouvais donc que voir sa grande cape et non son visage, encore moins mon fils.
-Tu croyais que j'allais te laisser m'enlever encore une fois mon fils, non, non Saphir. Pas cette fois non, cette fois je ne te laisserais pas me le prendre. Criais-je hors de moi en la regardant prête à me battre
Elle ne dit rien, ce qui met ma patience à bout, je voulais fermer les yeux pour faire appel à ma partie vampirique, mais je l'entends soudainement fredonner, avant de se retourner au ralenti vers moi. J'ouvre les yeux en grand en la voyant, on dirait qu'elle est encore plus vieille que tout à l'heure, mais comment cela est-ce possible?
Elle me sourit de ces dents jaunis, mais c'est pas ce qui retienne mon attention, non, mais plutôt le genre de couteau avec laquelle elle a voulu tuer Saran, qu'elle tienne en ce moment sur le petit coeur de mon fils. J'attrape ma bouche en étant terrifier, car un mouvement, un seul de sa part, et il est...mort.
-Tu croyais vraiment que j'ai pris ton fils pour le garder, non, non ma chère nièce. Si je l'ai pris...c'est pour en finir avec lui, et après tu pourras me tuer si tu veux. Je veux dire regarde moi, je n'ai plus rien à perdre de toute façon.
Après tout, j'ai perdu tout ce que j'avais par votre faute à tous. J'ai perdu mon royaume, mon William, mais surtout ce qui comptais le plus pour moi, j'ai perdu ma beauté. Me crie t-elle en me regardant hors d'elle, tout en gardant le couteau sur le coeur de mon fils
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L'épouse dévouée du roi
Historische RomaneMaria est une fille timide et naïve. Orpheline vivant parmi les loups de sa communauté. Mais il y'a un problème, elle n'a pas de...louve! Ce qui lui vaut tous les malheurs du monde, à cause de sa différence, ce qu'elle considère elle même d'ailleur...