⛓️Chapitre 18⛓️

100 6 18
                                    

PDV Tartaglia

Je devais bien reconnaître que les hotels de fontaine était bien confortable. De plus, j'avais une merveilleuse vue sur la ville. Je soupirai. Avais-tu la meme vu depuis ta chambre ma camarade. Le crépuscule donniat de merveilleuse teinte orangé au ciel ainsi qu'à l'entendu d'eau qui recouvrait la région. C'est dans ce moment de calme paisible que mon subordonnée vint perturbé ma tranquillité pour faire son rapport. Chaque soir j'attendais ce moment avec impatience.  J'apprenais ce que tu faisait de tes journées dans les moindres détails; comme si j'étais sans cesse à tes cotées. Comme à son habitude, il commença son récit : il détailla ton réveil, tes repas, tes activités matinales. Je ne pu contenir mon sourire pendant son récit. 

- L'après midi elle a reçu la visite du médecin qui était passé quelques jours plus tôt. Il lui a annoncé sa grossesse. Par la suite ell-

- Tu peux répéter ce que tu viens de dire, j'ai cru mal comprendre, lui demandais-je pour être sur de ne pas avoir vu des hallucinations. 

- Elle a reçu la visite du m-

- Après ça ! 

- Il lui a annoncé sa grossesse. 

Non. Je ne rêvais pas. Mon fils était en train de grandir en elle. Si j'avais pu, j'aurais sauté de joie, dire à quel point j'étais heureux de devenir père. Cela m'encourageais davantage de la récupérer, afin de récupérer cet enfant qui est le nôtre. J'avais du mal à contenir ma joie. 

- Reprend ton récit. 

- Par la suite, en apprenant cette nouvelle, elle est devenue hystérique et à demander de s'en débarrassée. Elle a poussé le docteur qui ne voulait lui donner de réponse et s'est avorté en utilisant un cintre. 

Il marqua une pause, me laissant ainsi le temps de digérer l'information avant de reprendre. 

- cher 11ème, j'aimerai que vous m'accordiez quelques jours repos et que vous confier cette tâche à une autre personne. Je ne suis plus en capacité d'assister à de telle choses. 

- Accordé. 

Il sorti de cette pièce. Je m'effrondrai : l'ascenseur émotionnelle était brutal, si brutal que le choc causé me fit monter les larmes au yeux. Je venais d'apprendre au même instant l'existence de mon enfant ainsi que sa mort volontaire. Mon esprit était assailli par un tourbillon d'émotions tumultueuses et cette maudite énergie à l'intérieur de moi me donnait de violente nausée. L'image du petit être que j'avais tant espéré, dont j'avais déjà imaginé le sourire et le rire, s'effaça brutalement de son esprit, laissant place à un vide abyssal. Je me sentis impuissant, comme pris dans un cauchemar dont il ne parvenait pas à se réveiller. ( T.p. ), me détestais-tu à ce point ? Le mal que je t'ai causé t'avais fait développé un tel sentiment de haine à mon égard que la simple annonce ta grossesse à provoquer un telle réaction de rejet de ta part. Qu'avais-je fait ? Est-ce que l'espoir d'être de nouveau dans ta vie est vain ? Je ne pouvais pas me sentir plus mal. Il fallait que je me vide l'esprit. 


PDV ( T.p. ) 

Je m'étais retrouvé dans un bain, entouré de domestiques inquiètes qui me lavait pour effacer tout le sang étalé sur mon corps. 

- Ne vous faites plus du mal de la sorte ! Nous savons que vous ne voulez pas de mariage mais vous en conjure, n'essaye pas de vous rendre sterile de la sorte. 

Oui, il valait mieux qu'elle croient que sur un coup de tête, j'eus voulu me rendre sterile pour éviter le mariage. Il fallait mieux cela que d'apprendre mon ancienne grossesse. J'appris plus tard que le médecin se porter à merveille et qu'il n'avait pas vendu la mèche. D'après les messes basses des servantes, à l'annonce du fait que je n'avais aucun soucis, j'aurais voulu m'en créer pour éviter un mariage. Je devais reconnaître qu'il m'avait sauvé la mise. Mes parents, bien évidemment, fut au courant de ce qu'il s'était passé. Évidemment, je m'étais pris une soufflante. Moi, ô fille de duc, mon corps était sacré et une marchandise de haute qualité : il ne devait rien lui arriver. Il était moyen de négociation. Voilà toute la considération qu'on me donnait. 

Maudit Fatui ! ||| Tartaglia x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant