Chapitre 20

106 7 3
                                        

Ilaria

C'est le jour de la vente. Je ne m'attends pas à ce que ça se passe mal, nous avons souvent des interactions avec eux pour beaucoup de vente.

Nous sommes dans deux voitures, je suis avec Soren pendant qu'Ange et Estéban son ensemble. Nous roulons depuis quelques minutes maintenant.

- Tu le sens cette vente ? Me demande-t-il.

- Nous n'avons jamais eu de problème avec ce gang, mais nous ne sommes jamais à l'abri.

- D'accord.

Nous arrivons rapidement au lieu de vente, nous descendons et vérifions l'argent. Une fois tous prêts nous arrivons devant notre ami.

- Ilaria Sorrentino ! Je suis content de te revoir ma douce !

J'entends Soren et Estéban s'étouffer face à ce surnom.

Je prends sur moi et m'approche de lui.

- Andrés comment tu vas ? Dis-je en lui serrant la main.

Il l'apporte à sa bouche et m'embrasse. Je grince des dents de dégoût.

Il en fait toujours des tonnes putain.

- Nous ne sommes pas là pour des futilités Andrés. As-tu notre commande ? Demande Ange.

- Angelo De Luca ! Toujours grincheux que je touche à ta bien aimée.

- Andrés pouvons-nous faire vite ? Nous sommes pressés. Dis-je.

- D'abord qui sont ces gens ?

- Des amis, tu peux leur faire confiance. As-tu toutes notre commande ?

- Évidemment.

Il claque des doigts et six de ces hommes apportent trois caisses, ils les ouvrent et je vérifie qu'il y a tout ce que nous avons choisis. Plusieurs armes, fusils et armes blanches, des protection et autres gadgets. Je sors une arme et la vérifie, je la monte et la démonte plusieurs fois, vise, vérifie les balles. Une fois mon inspection terminée je lui donne la mallette, il vérifie rapidement et nous nous serons la main.

- Ravi de faire affaire avec toi, si tu veux d'autres commandes appel-moi ou simplement pour s'amuser.

- Ta rapidité m'est utile seulement pour les ventes Andrés. Dis-je froidement.

Il rigole et fais demi-tour avec ces hommes, les six qui nous ont amenés les caisses nous les déposent dans nos voitures avant de repartir.

Nous montons dans nos voitures et prenons la route.

- C'est qui ce mec ?

- Un chef de gang.

- Il veut un truc avec toi ?

- Il a toujours essayer, j'ai toujours refusé. Il a de la chance que nos ventes soient rapides et efficaces sinon jamais j'aurais continué. Il m'apporte le matériel dès que j'en ai besoin.

Il hoche la tête quand mon téléphone sonne. Je décroche rapidement.

- Bonjour ma chère !

- James. Dis-je comme une insulte.

- Plus de Faucon ?

Soren s'agite et s'apprête à crier, je lui plaque ma main sur sa bouche et lui intime de se taire avec un signe.

- Je connais ton identité James, plus besoin de noms futiles.

- Ahahah tu me surprendras toujours !

A Love to Die ofOù les histoires vivent. Découvrez maintenant