Sept T2

8

Novembre 2022

Quatar

PDV VICTOIRE

Les phases de groupe sont terminée. La France s'en va en huitième contre un match perdu. Le moral est bon parce que les familles viennent ce soir. Les garçons sont heureux voyant leur proche les acceuillir à l'hôtel. J'ai vite était vers ma mère, elle m'a beaucoup manqué. On a manger ensemble et je suis parti pour aller prendre l'air. Au final beaucoup de famille sont dans les jardins.

-Ca fait longtemps nous deux.

-Félicitation maman.

Je me lève et je prend Erika dans mes bras.

-Je ne pensais pas te voir ici.

-Mia voulait venir et personne d'autre ne pouvait l'emmener. Je peux?

-Bien sur.

Elle s'assoit à mes côtés et on a parler comme de vieilles amies.

-Antoine m'a dit pour ta fille. Je peux faire quoi que ce soit?

-Non, mais merci de le porposer.

-J'aimerai. J'imagine que voir toutes les familles ici c'est pas simple.

-Ca dépend. Mais je crois que les voir heureux me conforte.

-Antoine à mis du temps à me parler des raisons de ton départ.

-Je ne pensais pas qu'il t'en aurait parler.

-Il a été plus triste pour la fin de notre relation que pour notre divorce. elle sourit.

-Tout ça pour rien. je répond.

- On a toujours parler tous les deux. Je sais qu'il n'a eu personne depuis vous.

-Il te l'a dit?

-Oui. Et honnêtement j'ai pas compris. On sortait de 10 ans de relation, il aurait du voir une réaction classique. Enchainer les meufs. Il n'a eu personne.

Je reste silencieuse ne sachant quoi faire.

-Et j'ai compris, c'est toi qu'il attendait.

-N'importe quoi.

-Moi j'en suis persuader.

Je regarde Antoine qui joue avec sa fille. Ils sont tous les deux morts de rire.

-Et toi? elle me demande.

-Moi quoi?

-Tu as eu quelqu'un?

-Non.

-Pourquoi?

-Pour Violette. J'avais pas le temps. Et puis si j'ai rompu avec Antoine, c'est pas pour retrouver quelqu'un. C'était Anto ou rien.

-Je pense qu'il a pensé de la même manière.

Je soupire.

-Tu sais, tu as pris une décision et je pense que n'importe qui aurait fait comme toi. Mais maintenant, il faut que tu penses à toi. Aucune maman ne doit oublier qu'elle est une femme. C'est ce qui nous a en parti emmener dans le mur avec Antoine.

Je soupire.

-Tu as surement raison. Mais 4 ans est passé. C'est devenu de l'histoire ancienne.

-Okay, alors regarde dans son portefeuille.

-Pourquoi?

-Tu verras. Et on en reparleras.

Elle est aller les rejoindre et moi je suis partie dans ma chambre. J'ai trainer jusqu'à entendre les garçons monté. Je suis aller chez Antoine, il m'a directement ouvert.