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Décembre 2022

Quatar

PDV VICTOIRE

Les huitièmes de validés, la malédiction est brisé. Je souris en sentant deux bras autour de moi.

-Tu pus Griezmann.

-Mais on va en quart.

-Vous avez assuré. je souris.

-Tu dors avec moi ce soir? il me demande.

-Si tu veux. je souris.

Il sourit et embrasse ma joue avant de partir au vestiaire. Les garçons ont fêter ça et sont monté dans le bus. Ce dernier se rempli et la musique est avec nos bleus plus qu'heureux.

-Stop the car. gueule mon père.

-Qu'est ce qu'il y a? demande Franck.

Mon père à gueuler avant de sortir du car en courant. On s'est tous regarder perdu avant de bouger pour voir ce qu'il fait. Mon père est avec un homme, mon sang se glace. J'ai balancé mes affaires et je me suis dépêcher de descendre.

Lorsque j'arrive à leur niveau, mon père attrape mon ex copain et le plaque au mur.

-Où est ma petite fille. il lui demande. Où est Violette.

-Papa. je dis. Lâche là, on te filme.

Je vois ces mains le serrer plus.

-Didier. dit Hugo.

Olivier et Antoine viennent voir mon père pour lui demander de se décaler d'Enzo.

-Papa tu viens?

Je me retourne et ma fille est là. Ces cheveux blonds sont si long et elle a tellement grandi. Mes yeux se brouillent de larmes.

-Violette. je dis tout bas.

Je m'avance doucement vers elle, mais elle ne bouge pas.

-Mon coeur, viens voir maman. je dis.

-Maman.

En prononçant ce mot, elle n'est pas venu vers moi mais la dame derrière elle.

-Violette. je dis.

Enzo demande à la femme de l'emmener.

-Tu n'as pas voulu d'elle et tu penses qu'elle va te considéré comme sa mère? rigole Enzo. Ma pauvre fille.

-J'ai fait tout ce que tu m'as demandé. je dis en larmes. Rend moi ma fille.

-Je t'ai laisser le choix, tu n'as pas pris le bon. On aurait pu être heureux tous les trois. C'est la denrière fois que tu la voyait.

-Enzo, s'il te plait.

-Approche là encore une fois et je fais en sorte que tu n'es plus de droit parentaux. il sourit. Beau match les gars. il dit. Quoi que Griezmann tu as été inutile. Remarque tu es là parce que tu te taper la fille de coach. Beau papa, les dents ça change votre visage. Mon amour, c'était un plaisir.

Il prend mon visage entre ces mains et arrive à m'embrasser. Je me laisse faire et je monte mon genoux dans ses couilles pour taper de toutes mes forces. Il se plie en deux.

-Connasse. il dit.

-Il faut qu'on bouge. dit Hugo. Y'a des journalistes de partout.

Olivier m'a presser le pas et on est rentré dans le bus. Il y avait un silence glacial, plus aucune musique ou joie. J'imagine que personne n'a compris mais je n'ai pas la foi de leur donner des explications ce soir. Arrivé à l'hôtel, je suis monté directement dans ma chambre et je me suis effondré dans mon lit. Je n'ai rien dit en entendant la porte s'ouvrir et je me suis laisser faire en sentant des bras autour de moi. Antoine. Je reconnaitrai son parfum entre mille.

-Je suis là. il dit.

-Elle pense que je suis inconnue. je dis en pleure.

-Je sais.

-C'est ma fille Antoine.

-Allez viens. On bouge.

-Anto.

-Fait moi confiance.

Je soupire et je me lève, j'ai baisser la tête en croisant les gars. Je n'avais pas envie qu'il regarde mes yeux plein de larmes, ou voir leur pitié. On arrive à la salle de sport et Antoine me file un punchingball.

-Sérieusement?

-Ose me dire tu n'as pas envie de le frapper. il dit.

-Si.

-Alors tape, ça va te faire du bien. Y'a personne, j'ai fermer. Juste nous deux, défoule toi Vi.

J'ai commencer à taper et plus je tapais, plus mes coups devenait puissant et plein de rage. J'ai fini par m'effondrer en sieur, à bout de souffle et toujours en larmes. Antoine m'a laisser du temps pour souffler et reprendre mes esprits.

-On va soigner tes mains. J'aurais peut être du te les bander.

-Ca m'a fait du bien. je dis.

On a été à l'infirmerie et il m'a de nouveau soigner.

-Pourquoi tu rigoles?

-Tu te rappel la dernière fois qu'on a été dans une infirmerie? je demande.

-Oui.

-J'avais eu envie de t'embrasser.

-J'avais hésiter à le faire. Je pensais que tu m'aurais recale.

-Jamais.

Il fini de soigner mes mains.

-Merci. Anto?

-Docteur tu veux dire?

-L'abus. je pouffe de rire.

-Tu disais?

-Tu veux bien m'embrasser?

-Depuis quand tu demandes?

-J'ai l'impression d'avoir toujours ces lèvres sur les miennes et j'aime pas.

Il n'a rien dit et m'a embrasser de la plus délicates des façons.

-Merci. je dis quand le baiser cesse.

-J'ai détester voir un autre homme t'embrasser.

-Je préfère mille fois quand c'est toi qui m'embrasse.

Je dépose de nouveau ces lèvres sur les miennes et il me porte pour m'asseoir sur le divan.

-Anto? Tu ne veux pas fermer la porte à clé?

-Ici? il demande.

-Y'a pas de caméra, on est tous les deux. Et je ne l'ai jamais fait dans une infirmerie.

Il s'est détacher de moi pour aller bloquer la porte, je l'ai regarder en souriant avant d'enlever mon tee shirt.

-Tu es le diable Victoire Deschamps. il dit.

-Tais toi, et fait moi l'amour.

-Vos désirs sont des ordres.


Sept T2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant