𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟕: 𝐓𝐨𝐮𝐥𝐬𝐤𝐢 𝐓𝐨𝐤𝐚𝐫𝐞𝐯 𝟑𝟑

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"La mode se démode, le style jamais "

Coco Chanel














TW: Armes

















7 : Toulski Tokarev 33




















Rhéane





Le lendemain matin,



Durant la nuit, Arès est parti, sûrement dans la forêt, pour chasser ou se dégourdir les pattes.

Après que je sois remontée en haut, je les ai entendus discuter puis s'enfermer dans une pièce, je parvenais quand même à entendre quelques bribes de leur conversation, de ce que j'ai compris, ils sont en train d'échafauder un plan.

La raison ?

J'en sais rien et ça fait vraiment chier

Je m'habille puis descend les escaliers marbrés, je ne prends pas la peine de déjeuner, ça me donne envie de vomir, et pars directement à la recherche de mon loup.

Je n'ai aucun signe de vie des autres et ils ne m'ont pas dit combien de temps ils restaient.

Plus vite ils partiront, mieux ce sera, pour tout le monde et surtout pour moi, et la kurva aussi, elle risquerait de crever, mais à mon humble avis, ça ne serait pas une grande perte.

Je sort par la grande porte d'entrée gris anthracite et pars interroger les hommes de Francesco, je les interpelles mais aucun ne sais par où ils s'est enfui.

Une heure de recherche plus tard, je décide de rentrer, après avoir essayé d'appeler mon loup au abord de l'immense bois sombre.

Mais il n'a pas répondu à mes appels, pas une seule fois.

De retour à l'intérieur de cette grande maison, je m'approche de la baie vitrée donnant sur une terrasse ainsi qu'une piscine démesurément grande. Tout ceux que j'ai rencontré hier sont présent, Owen, Alvaro, Liam, Francesco et Warren.

Ils ont l'air de bien s'amuser, quelque chose me dit que ça ne va pas durer trop longtemps.

J'ouvre la porte fenêtre, et m'avance vers Francesco, tous en short de bain, Lian et Owen se balance de l'eau au visage et les trois autres discutent dans le bassin.

Leur discussion se stoppe, quand j'arrive, ils relèvent chacun leur tour leur tête vers moi, attendant sûrement la raison de ma présence ici. 

- Francesco tu n'aurais pas vu Arès se matin je demande en le fixant dans les yeux pour m'empêcher de les balader sur leurs corps d'athlètes

Ils sont tous bien batis, pour mon plus grand malheur 

- Non désoler, il doit surement se balader quelques parts, demande aux hommes qui surveillent la bordures de la forêt, si ils est passé par là, ils ont dû l'apercevoir me répond-t-il en observant le bois faisant face à la piscine

- J'ai déja demandé, mais rien, merci quand même, si tu le vois appelle moi terminais-je en me retournant pour partir

A peine ai-je dépassé le bas de la porte qu'un long hurlement plaintif résonne, faisant s'envoler une nuée d'oiseaux perchés sur les branches des arbres.

Les hommes dans la piscine se figent,

- Arès murmurais-je terrifier à l'idée que quelques chose lui soit arrivée 

HEARTLESSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant