𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟕: 𝐅𝐢𝐫𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭

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" Le plus beau vêtements qui puisse habiller une femme, ce sont les bras de l'homme qu'elle aime "

Yves Saint Laurent

























TW: Mention viol/attouchements

























17 : First contact



























Rhéane

22h12,




Mon ébranlement est palpable, cette femme fantasme sur son fils, c'est purement de l'inceste et sa me dégoute.

Le sais-t-il ?

Cette interrogation me préoccupe.

Warren est en train de finir quelques papier en rapport avec la mafia, je suppose, dans le bureau de son père, qui est parti à son travail suite à une urgence signalée par son secrétaire, et Margaret, je ne sais pas où elle est.  Se qui ne me rassure pas vraiment.

Il est au second étage tandis que moi, je suis au rez-de-chaussée, avec elle dans les parages. J'ai masqué la photo dans mon album, pour éviter les problèmes, qui ne vont pas tarder à arriver, à mon avis.

Assise sur le lit, je range les quelques vêtements que j'ai utilisé durant le séjour, pour être prête pour le lendemain matin, lors de notre retour à Mexico.

Mon téléphone vibre soudainement,  

" Un virement de 500 000 € a été effectué depuis le compte de Francesco Valenzuela à votre compte bancaire"

Depuis le temps que je l'attendais cette notification.

C'est l'argent que mon patron me devait pour mon rôle d'actrice mais la prime qu'il m'avait promis manque à l'appelle, se que je lui fait remarquer.

De moi à Francesco>

Il manque ma prime.

Une autre vibration se fait entendre, cinq minutes plus tard,  

"Un virement de 5 000 € a été effectué depuis le compte de Francesco Valenzuela à votre compte bancaire"

Sacré montant, je devrais collaborer d'avantage avec lui. Les yeux sur ces chiffres je ne remarque pas la personne qui essaye de rentrer.

La porte de la suite s'ouvre en grand, plongée dans le noir et éblouie par la lumière aveuglante de mon portable, je ne perçoit pas la personne entrée, je me relève vivement, quand la porte claque un seconde fois, mais cette fois la, elle se referme à clé.

Je suis piégée. Fait comme un rat.

L'ombre se mouve, pour terminer à un mètre de moi.

– C'est qui ? je lance avec mécontentement allume cette putain de lumière sinon jte bute

– Ton pire cauchemars répond la voix féminine sans prendre la peine de répondre à ma question

Un fou rire me prend, pour la virilité, on repassera hein.

J'allume la lampe de chevet et ma belle-mère apparait sous mes yeux.

J'aurais du m'en douter

– Tu as peur que je dévoile ton petit secret n'est-ce-pas j'expose avec mépris je peut la sentir d'ici, ta peur

HEARTLESSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant