Note : Heeeelllooo !
Un an et demi après, voici la suite de Ponzona. Les deux prochains chapitres sont (presque) prêts. Depuis le temps, j'ai un peu révisé le scénario pour la suite, étant donné que je n'étais plus très sûre d'où je voulais aller avec cette fanfic (ce qui explique son arrêt, associé au temps qu'il m'a fallu pour avoir un bon équilibre vie perso/ taffe), l'ayant commencé avec une intention expérimentale, ni combien de chapitres elle allait faire, à cause du format court qui sied bien à wattpad mais ne sied pas trop à mon nombre habituel de mot par chapitre mdr.
J'espère que vous êtes encore au rendez-vous, et pour ceux qui auraient (et c'est compréhensible depuis...) un peu oublié de quoi parle la fic, et n'auraient pas envie de tout se retaper, voici un petit résumé depuis le début :
Allen, un sorcier demi-démon, passe un contrat avec Kanda parce qu'il est rejeté de l'Académie de Magie dirigée par Luberrier, une Académie très importante pour les siens, et ainsi trouver la relique du Quatorzième pour être accepté. Dans le même temps, il veut découvrir le secret de ses origines. Kanda est un démon porté sur le sexe qui n'a pas l'habitude d'être appelé pour autre chose, son but principal est souvent de faire grossir le nombre de ses courtisans en Enfer dans son petit harem, mais il est puissant, il est donc ravi d'avoir l'occasion d'acquérir du pouvoir grâce à Allen. Cependant, bien vite, Allen et Kanda attirent l'attention des Noés, dont Tyki, qui a séduit Lavi sans savoir qu'il est le pote d'Allen.
Ce chapitre est centré sur Lavi et Tyki ;).
Bonne lecture !! :)
Lavi avait l'impression d'être une Alice des temps modernes, tombé dans le terrier du lapin jusqu'au pays des merveilles loin de porter son nom. Il avait plutôt la foutue impression de choir en amour, tant cette contrée — c'en était une — aussi impétueuse que furieuse l'emportait. C'était à la fois trop rapide, trop stupide, aussi trop imprudent de lui. Il soupirait en regardant son téléphone, dans l'attente de nouvelles de Tyki. Le plus âgé avait promis qu'il passerait le voir ce soir, il n'avait toujours pas de textos de sa part. Il espérait qu'il ne s'était pas fait leurrer dans l'histoire, que Tyki n'avait pas oublié. Ce serait toujours sympa d'avoir une bonne baise. Surtout que le plus vieux partait en voyage ensuite, et qu'il ne reviendrait pas avant longtemps. Tyki l'avait prévenu de son futur départ il y a deux jours, ce que Lavi jugeait fort dommage. Les affaires l'appelaient, il avait eu un tuyau qui l'aiguillait vers d'autres cieux.
Bien sûr, ils s'étaient revu depuis leur première nuit passée ensemble, qui avait donné lieu à deux autres bien endiablées. Ce soir devait être leur dernier ensemble, et Lavi hésitait à lui demander de garder contact à cause des sentiments étranges qu'il développait. Il ne voulait pas avoir l'air de lui courir après, néanmoins, ils avaient eu une telle alchimie...
Lavi aurait trouvé bête de perdre ça.
Peut-être qu'il y avait ce trop plein d'attachement émotionnel qu'il ne comprenait pas derrière qui s'exprimait. Evidemment. Il n'était pas forcément le plus logique à 100%, quand bien même il savait s'analyser, analyser les autres et leurs émotions. Il avait vraiment un énorme crush sur Tyki. Ça aurait été bête de ne pas donner suite.
Alors il restait comme un abruti à tourner en boucle dans son appartement, à checker son portable dès qu'il voyait l'ombre d'une notification s'y afficher — un groupe whatsapp pour la fac duquel il n'avait rien à faire, une appli qui lui rappelait une mise à jour, sa conversation messenger avec Allen et Lena, rien d'autre. La frustration sonnait son plein. C'était chiant d'attendre.
Quand enfin, enfin, le nom de Tyki s'afficha sous la forme d'un appel entrant, il sauta presque au plafond tant il fut surpris.
"J'arrive," dit la voix essoufflée de l'homme, "je passe te prendre de suite, excuse-moi du retard. Tu peux descendre m'attendre".
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Ponzona || D. Gray Man
Fanfiction« T'es qui, gringalet ? » Allen se mordit l'intérieur de la joue. « Je m'appelle Allen Walker, je ne suis pas un gringalet ! » Se gaussant de son éclat de voix, le démon ne fit que pester comme un enfant, montrant bien qu'il n'en avait rien à cirer...