Chapitre 8

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Mon meilleur ami avait du sang partout autour de la bouche. Les yeux remplis de larmes. L'air lui même surpris de ses propres actes.

-Stefan, viens on va te débarbouillé et on va discuter.

Il se leva le regardant avec un regard vide comme avant.

-je n'ai pas envie, j'ai rechuté c'est fini.

-ne dis pas ça, je suis là et je vais écrire à Lexi pour qu'elle nous donne un conseil, elle sera la meilleure pour nous aider Dis je essayant de le rassurer mais apparemment ma phrase eut l'effet inverse.

D'un coup de main, il jeta mon téléphone par terre, avant de me regarder avec de la haine dans les yeux. Je suivias du regard mon tel avant de le devisgarr. Je fronçais les sourcils qu'est que j'avais dis de mal.

Klaus arriva à son tour dans la pièce obsverant la scène, il a sûrement dû accourir quand il a entendu un fracas sur le sol.

-tu ne comprends pas, lexi, elle... débuta t'il baissant le regard.

Ça sentait tout sauf bon ça.

-elle quoi Stefan M'enervais je me doutant de ce qu'il allait m'avouer.

Il confirma mes doutes quand il prononça ses mots

-elle est morte.

Ça a eu l'effet d'un poignard planté dans le dos, je sentais les larmes. Je ne devais pas montrer ma faiblesse. Mais c'était mon amie j'avais passé le dernier siècle avec elle. Elle était ma confidente.

D'un coup, je plaqua au mur le Salvatore, le bras sous sa gorge. Les yeux remplis de tristesse.

-tu n'as pas jugée bon de ème l'annoncer des le départ Hurlais je

Un silence se fit dans la pièce, personne n'osait bougé ayant peur de m'enerver encore plus.

-Stefan qui a fait ça, pourquoi tu me l'as pas dit. Criais je toujours en colère mais surtout du chagrin.

Il me regarda juste avec un regard désolé, de chien battu.

Je le laissais retomber sur le sol.
Avant de partir prendre l'air loin du motel,
Je me trouvais assise près de la station essence sur un banc regardant mes pieds.

La mort de Lexi était difficile à avaler et le silence de Stefan ne voulant rien me dire m'agacer d'avantages.

Un larme coulait le long de ma joue, sans que je puisse le contrôler. Je regardais le vide, plongé dans mes pensées, ne faisant pas attention à la personne s'etant assis.

-c'est Damon qu'il a tué et je ne voulais pas te rendre triste. tu sais aussi bien que moi pourquoi... Expliqua le Salvatore qui etait calme et garder son sang froid.

-je sais que tu t'inquiète pour moi mais je ne le ferais plus.

-Valentina, tu sais tu es comme une sœur pour moi et t'avoir vu perdre ton humanité une fois m'a brisait le cœur. Tu sais comme moi que notre lexi n'aurait pas aimé de te voir la reteindre.

Je lui souriais timidement, je savais qu'il se faisait beaucoup de soucis pour moi.

-je pense avoir sureagis désolé...

-c'est normal Dit il mettant son bras autour de mes épaules.

-faisons un pacte, si tu ne rechutes pas comme boucher je n'eteins pas mon humain en moi Jurais je lui tendant mon petit doigt.

Il fit de même me serrant mon doigt avec le sien.

-promesse ?

-promesse. Souriais je

Puis il se leva me tendant la main pour que je l'apprenne. Ce que je fis souriant amusant par la situation

Klaus était adossé contre ma portière de voiture avec un large sourire, je savais qu'il avait su entendre notre conversation.

Stefan monta comme à son habitude à l'arrière, regardant encore son mobile.

Je voulais passé mais le Mikaelson me coupait le chemin. Je soupirais

-tu peux t'en aller s'il te plaît ?

-je sais j'hésite peut être que si tu dis mon nom..

Il donnait l'impression de l'avoir blesser quand je l'ai repoussé ce matin. Ce qui était assez marrant. Lui qui se prétendait si méchant et froid.

Je le regardais me rapprochant de son oreille avant de lui souffler

-niklaus pousse toi.

Je sentis sa machoire serrait, je sais qu'il hait qu'on l'appelle comme ça alors autant en jouer.

Il partit se mettre pour conduire, le regard droit devant, son visage fermé.

Je montais à mon tour, avec un air joyeux sur le visage fière de l'avoir battu.

Mais il se perdu vite voyant Stefan derrière me rappellant Lexi. Je fermais les yeux, reprenant mes esprit, je ne devais pas me laisser aller devant quiconque.

J'ouvrais les yeux plus que déterminée à ne rien montrer.

On roulait, et roulait pendant plus de 4h, toujours vers la destination de Klaus.

Il eu enfin un panneau avec écrit Memphis Tennesse.

C'est peut être enfin la fin de notre voyage.

Ce fut le cas, car on s'arrêta sur un parking du centre ville de Memphis. C'était assez ravissant, il devait être 12 h et mon ventre gargouillait déjà.

Je crois que toute la voiture la remarquait car les rires discrets des deux garçons retentirent.

-tu n'aurais pas faim Se moqua le Salvatore derrière moi.

Je me retournais avec un air innocent.

-je ne vois pas pourquoi tu dis ça Ironisais je avec un sourire.

Klaus sortit de la voiture nous faisant signe de le suivre.

On le suivit, quand il s'arrêta dans un petit bistrot.

-mangez, je dois faire quelques choses Exigea t'il nous laissant seul face au bar.

Je regardais mon ami qui lui avait les yeux ébahis.

-que puis je vous servir ? Demanda une des serveuse qui etait blonde avec un regard bienveillant.

Je la regardais droit dans les yeux avant de l'hypnotiser.

-on voudrait ton sang ma belle. Ordonnais je.

Puis elle se coupa les veines les mettant dans un verre, puis elle me le tendit avec toujours son regard bienveillant

-avec ça ? Demanda t'elle

-tu bois le mien Dis je sachant que s'il je ne le faisait pas elle allait mourir.

Je mordis mon poignet et lui tendit elle bu une gorgée avant de s'en aller en cuisine.

Je pris le verre de sang qui était posé sur le bar et le bu d'une trait.

Sur le regard de Stefan, qui me fixait encore sous le choc de ce que je venais de faire.

-et moi ? Questionna t'il.

-tu veux que j'aille hypnotisé un écureuil Le taquinais je entrain d'être morte de rire.

Au début il me regarda avec colère avant de suivre dans mon fou rire.

Puis on commandait, un steak saignant.
Et une paille et on s'installa sur une des tables avec deux banquettes en cuir noir des deux côtés.

Mon ami mangea son steak, on parlait de tout et de rien. Surtout de rien, nos discussions n'avaient aucune sens.

Ce repas me fit du bien, Stefan m'avait fait oublié cette matinée horrible et notre hybride de première classe.

Tiens qu'en on parle du loup, il arriva dans le bistrot se dirigeant vers nous

My Enemy ? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant