chapitre 2

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Arthur

J'étais dans mon bureau lorsque la porte s'ouvrit brusquement.

Bonjour, mon fils ! S'exclame joyeusement mon père.

Bonjour, papa !

Dans notre monde, c'est très rare d'avoir des parents gentils et les miens font partie de l'exception, j'ai toujours eu de bon rapport avec eux.

Adolescent, je suis parti en échange scolaire pendant deux ans et c'est deux ans loin d'eux nous a encore plus rapproché.

Il s'approche de mon bureau et s'assied dans un des fauteuils

Mon fils, il faut que je te parle affaires ! Déclare t'il sérieusement.

Je t'écoute.

Amber Rossi. Déclare t'il simplement.

Et bien quoi Amber Rossi ? Dis je perdu.

J'aimerais que tu l'épouse.

Ça recommence ! Ralais-je. Il n'en est pas question !

Cela fait maintenant quelques années qu'il me cherche une femme, enfaîte c'est depuis que j'ai repris le réseau.

Pourquoi au diable devrais-je me marier avec cette femme ?!

C'est pour ta sécurité !

Une femme pour assurer ma sécurité, on aura tout vu !

Sal misogyne! Crie t'il

Je ne suis pas...., commençais-je

Écoute fils, commence t-il plus doucement, ce ne serait qu'en apparence, sur papier, je ne vous demande pas de vous aimez, je ne demande pas un héritier.

Encore heureux !

Cette femme est la meilleure tueuse à gages du pays !

J'ai jamais entendu parler d'elle !

C'est normal elle a une fausse identité enfin bref, dit il en balayant ça du revers de la main

Comment sais-tu tout ça ? Lui demandais-je suspicieux.

Je la connais personnellement !

Et comment peux-tu être sûr qu'elle dira oui, qu'elle ne nous plantera pas de couteau dans le dos ?

Elle a une dette envers moi ! Dit-il platement et sans plus de détails.

Son idée n'était pas mauvaise, après tout, c'est vrai que j'avais beaucoup d'ennemis, beaucoup veulent me tuer, alors un tueur à gages pour me protéger n'est pas trop mal. Même si c'est une femme.

Ok. Abdiquais-je

Bien ! Je vais prévoir une entrevue avec elle mais il faudrait déjà qu'elle daigne à décrocher son fichu portable ,sinon on la kidnappe !

C'est pas un peu extrême ?

Non, si elle ne veut pas venir à nous alors nous l'obligerons !

***

Deux semaines plus tard.

Deux semaines sont passées et cette femme ne daigne toujours pas répondre  alors nous allons passer à la manière forte.

On a repéré sa voiture et mis un trasseur sur cette dernière.

Mes hommes sont en placent sur des toits, d'autres la suivent en voiture.

Les apparences sont parfois trompeusesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant