Ambre
Ça fait maintenant trois jours qu'on m'a kidnappé, trois jours qu'ils veulent des informations sur moi et Arthur, trois jours que je ne leur réponds pas, trois jours que je me fais passer à tabac, trois jours qu'on me traite comme un chien.
Je dois prendre mon traitement putain !
Heureusement que j'ai ce masque sinon tout le monde serait déjà au courant que je suis une femme.
Hier, un homme est venu me reposer les mêmes questions que la veille et j'ai eu le meilleur fou rire de ma vie.
Bon après il m'a tabassé mais au moins j'ai bien ri !
Je sens que je commence à disjoncter.
Il faut que je me sorte de là !
Connaissant Em', elle doit être morte d'inquiétude.
Si elle a dit mon secret, elle est morte cette conne.
Et juste à cette pensée un fou rire me prend.
La porte s'ouvre sec et un homme fait son entrée.
— Putain mais tu veux pas l'a fermé ?! J'en ai marre que tu rigole comme un con, continue et je baise.
Il continue.
— J'vais fourré ma queue dans ta bouche et LÀ tu ne rigoleras plus.
— Mon masque ne s'enlève pas petit pédé.
— Alors ma bite finira dans ton trou de balle sal chien. Dit il rageusement.
Il me prend pour un vide couilles ce con ?!
La première personne que je tuerais en sortant d'ici ça sera lui.
Il me tourne le dos et s'en va.
Je me mets à chantonner la chanson que me abulita me chantait lorsque j'étais enfant.
— Un éléphant qui se balançait sur une toile, toile,toile , toile d'araignée et trouvait ce petit jeu tellement amusant que bientôt vient un deuxième éléphant !
Et je chante cette chanson jusqu'à trente sept éléphants.
J'EN AI MARRE ! Rohh.
Pourquoi ce n'est jamais des personnes drôles qui me kidnappent ?!
Après je dis ça mais je n'ai été kidnappé que deux fois sauf que la première fois ne s'est pas très bien fini...
Enfin bref !
Mes mains sont attachées dans mon dos grâce à une corde.
Alors comme papa me l'a appris, je me libère.
Je déboite mes pousses pour passer plus facilement mes mains et...
Le tour est joué !
Une fois les mains détachées je m'occupe de mes pieds.
Ma cape fermé comme toujours, on ne voyait pas la forme de ma poitrine et heureusement.
Je récupère le mini pistolet coincé entre mes seins, vérifie qu'il soit chargé et me rassoie sur la chaise.
Une fois cela fait je me met à appeler le pédé.
— Et la pédale vient !
La porte s'ouvre d'un coup sec faisant trembler le sol.
— C'est qui que tu traites de pédale suceur ? Dit il rageusement.
Il s'avance vers moi et me prend par la gorge.
Je lève mon bras, le canon sur sa tempe et lui chuchote :
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Les apparences sont parfois trompeuses
AksiLa saga familiale 💞 T1 Son nom : Le diable de cœur ! Tueuse à gages annonime, personnes ne sait qui elle est, elle vit comme elle le veut, où elle veut, mais ça petite vie tranquille va basculer quand l'homme qui l'a entraîné et qu'elle considère c...
