chapitre 24

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NDA !!!!! Musique : Être une femme de Michel Sardou. Celle de 2010 !!!

Mettrez la quand elle commence dans le chap !

Kiss 💋 💋












Ambre

Il n'est que sept heures et, pourtant, nous sommes déjà dans des suv direction l'aéroport.

Je suis réveillée depuis deux heures et l'adrénaline monte petit à petit en moi.

Ainsi que le stress mais je n'y fais pas attention.

Nous arrivons enfin à l'aéroport où nous attend le jet privé d'Arthur.

Moi je n'en ai pas. Je pense à la planète. Pas comme certain.

Nous nous garons et allons vers le jet où nous attendait une jolie hôtesse de l'air.

Petite, blonde et bronzée, cette fille doit faire tourner les têtes.

— Bonjour monsieur Colentin ! Dit-elle de sa voix aiguë.

— Madame Colentin. Ajoute la blonde sur un ton plus formelle.

— Madame Rossi. La reprenais-je.

— Pardon ? Me questionne t'elle perdue.

— Mon nom reste Rossi. Je n'ai pas pris son nom. Dis-je froidement.

— C'est bon, allons nous asseoir Ambre. Dit Arthur en attrapant mon bras.

Nous nous assaiyons sur des sièges en cuir noir.

— C'est du vrai cuir ? Le questionnais-je.

— Oui pourquoi ?

Je me lève et un frisson me prend.

— Pourquoi as-tu du vrai cuir dans ton avion ?! M'exclamais-je.

— Madame, vous devez vous asseoir l'avion va décoller.

— Je ne vais pas m'asseoir sur de la peau de bête !

— Ambre arrête tes bêtises ! Me gronde mon mari.

— Non.

— Madame vous allez tomber. Dit la blonde.

Devant les sièges est accrochée une table blanche en plastique. Je saute dessus et lui lance :

— C'est bon je suis assise.

— Heu madame... Je...

— Démarrez l'avion. Déclare Arthur.

— Quoi mais monsieur !

— Faites ce que je vous dis. Si ma femme tombe, c'est son problème pas le vôtre. Gronde t'il.

Je lâche un petit rire qui me vaut le regard noir d'Arthur.

Je me pince les lèvres pour éviter de rire.

Arthur

Ambre se pince les lèvres pour éviter de rire.

L'hôtesse part donner le feu vert aux pilotes.

Putain, si j'avais su pour les sièges je les aurais changé !

Ce jet est à mon père ce n'est donc pas moi qui ai choisi.

L'avion décolle mais je remarque les mains agrippé, à la table, d'Ambre.

— Pas trop mal aux mains ? La taquinais-je.

— Ta gueule.

— Je rigolais ! M'exclamais-je.

— M'en fou. Dit-elle en fermant les yeux.

Les apparences sont parfois trompeusesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant