ᴄʜᴀᴘᴛᴇʀ ғɪᴠᴇᴛᴇᴇɴ

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𝘤𝘰𝘶𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘨𝘦 𝘧𝘰𝘳𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦́: 𝘴𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦

3325 mots.

𝐓𝐨𝐤𝐲𝐨, 𝐉𝐚𝐩𝐨𝐧 7 𝚍𝚎́𝚌𝚎𝚖𝚋𝚛𝚎, 18:03𝐌𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐇𝐚𝐢𝐭𝐚𝐧𝐢

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𝐓𝐨𝐤𝐲𝐨, 𝐉𝐚𝐩𝐨𝐧
7 𝚍𝚎́𝚌𝚎𝚖𝚋𝚛𝚎, 18:03
𝐌𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐇𝐚𝐢𝐭𝐚𝐧𝐢.

Depuis deux jours, il n'y a pas de courant, ce qui veut dire que les lumières ne s'allument plus, les prises électriques ne fonctionnent pas, et surtout, la télévision reste éteinte sans moyen de l'allumer.

Heureusement pour moi, Ran m'a donné une batterie externe, permettant de charger mon téléphone sans prise électrique.

Donc, pour m'occuper pendant que mon téléphone chargeait, j'ai décidé de plier mes vêtements qui étaient dans mon dressing, en remarquant qu'ils étaient dans un total désordre.

«C'est vraiment pénible, je n'aurais jamais dû me lancer dans cette tâche...» pensai-je en pliant un pull avant de le poser sur la pile de ce genre de vêtements.

Lorsque j'ai pris une jupe sur l'une de mes étagères, une photo est tombée au sol. Intriguée, j'ai décidé de la prendre en main afin de l'examiner.

«19 novembre.» Un sourire nostalgique se dessine sur mes lèvres à la vue de cette photo.

C'était le jour de mon mariage. Je me trouvais au centre de la photographie, vêtue de ma robe blanche, un diadème posé sur ma tête, sur mes cheveux bruns que j'avais lissés, avec le seul sourire sincère qui se trouvait sur mes lèvres rosées.

À mes côtés se trouvait Dorota. Ses longs cheveux ondulés tombaient en cascade sur ses épaules, un sourire rayonnant sur ses lèvres recouvertes de rouge à lèvres rouge.

C'est la seule photo que j'ai gardée en guise de souvenir, j'ai brûlé toutes les autres.

Je tourne l'image par simple curiosité, mais je tombe sur une ligne de chiffres, écrite en noir afin de mieux les distinguer.

Confuse, mes sourcils se froncent. «C'est quoi ces chiffres bizarres là?»

Durant plusieurs minutes, je restais dans la même position ; assise en tailleur, entourée de piles de vêtements interminables, en train de fixer le dos de la photographie.

Soudain, mes yeux s'écarquillent et une ampoule s'éclaire au-dessus de ma tête. Je viens juste de remarquer que c'était l'écriture de Dorota.

Je me lève, toujours avec l'image entre mes deux doigts, et me dirige vers ma chambre. Je m'assieds sur mon lit et prends mon téléphone en main.

Je le déverrouille, vais sur l'application 'téléphone' et tape sur le clavier la série de chiffres en prenant bien soin de ne pas me tromper pour ne pas perdre de temps.

❝𝐀𝐋𝐋 𝐅𝐎𝐑 𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐎𝐍𝐄𝐘.❞ 𝓡𝒂𝒏 𝒙 𝓕𝒆𝒎!𝓐𝒖𝒕𝒉𝒐𝒓.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant