6706 mots. (Je suis encore choquée je ne sais pas doser)
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Pdv: 𝓛𝓲𝓶𝓪 𝓚𝓸𝓱𝓪𝓻𝓲.
𝐓𝐨𝐤𝐲𝐨, 𝐉𝐚𝐩𝐨𝐧. 13:30 𝐀𝐩𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐇𝐚𝐢𝐭𝐚𝐧𝐢.
La lumière parvenait à entrer dans la sombre pièce à cause des petits trous qu'avaient les volets.
La porte était fermée mais les portes de l'armoire étaient encore ouvertes à cause de notre altercation de la veille.
J'étais réveillé depuis au moins une bonne trentaine de minutes, mais je n'ai pas bougé d'un seul poil.
«Qu'est ce qui m'a pris d'avoir accepté de dormir avec lui ?» c'était la phrase que mon esprit passait en boucle depuis trente minutes.
J'ai une excuse. Même plusieurs. Le canapé tout dur, le fait qu'il était deux heures du matin donc il faisait nuit et quand il fait nuit on fait des choix totalement con, des menaces qui m'ont effrayé, les picotements chauds qui ont fait leurs apparitions quand il a enlever son tee-shirt comme si il était tout seul et quand il m'a fait son offre.
Je sentis le souffle chaud de Ran caresser ma nuque froide à cause de la basse température qui berçait l'appartement. La preuve, je suis obligé d'être en pull/pantalon au lieu d'être en débardeur/short.
Je ne sais pas dans quelle position précise nous somme. Je sais que je suis juste allongée sur le côté droit avec mes mains sous ma tête tandis que Ran est assez proche de moi vu que son souffle parvient à me chatouiller ma nuque et que son parfums vient noyer mes narines. Son bras, lui, et posé sur ma hanche et c'est tout ce que je sais.
Je n'ose même pas me tourner vers lui, je veux juste profiter de cette étreinte apaisante.
«C'est bizarre que la chaleur qu'il développe soit autant addictive. C'est moi qui doit avoir un problème.»
La forte distance que nous avons me procure des sensations indescriptible a l'intérieur de mon ventre. Malheureusement, je ne peux plus accusé mes règles, je ne les ai plus.
Dans les films et les livres, on appelle ça des papillons dans le ventre. Généralement, c'est quand le personnage commence peu a peu à tomber amoureux.
«Serai-je entrain de tomber amoureuse de Ran ?»
Mes pensées encombrent mon esprit pendant que mes yeux scrutent la chambre, mais je ne pouvais rien voir, elle était plongée dans l'obscurité.
