Chapitre 12

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PDV HÉLÉNA :
Aujourd'hui, on était jeudi et je devais laisser seule Lénie pour rejoindre le château à 18h. Je me réveille et vois Lénie blottit contre moi. Son visage est si parfait, elle a vraiment tout pour elle j'ai vraiment de la chance d'être l'élu. Mais bon, je savais qu'aujourd'hui allait être compliqué sachant que je dois la laisser seule et je savais que cela pouvait avoir de grandes conséquences. Je décala la tête de Lénie légèrement et me lève. Je m'habille et me prépare. Je vais aller à la boulangerie car que je compte faire plaisir à Lénie jusqu'à 18h. Arrivé à la boulangerie, je prends sa viennoiserie préféré. Comment je sais ? Et bien, les discussions inintéressantes du château ont payé. Je marchais de retour vers l'hôtel. L'air frais faisait basculé mes cheveux vers l'arrière. Je n'avais même pas mon téléphone dans les mains, les gens me disaient bonjour tout était fait pour passer une bonne journée. J'arrive dans la chambre d'hôtel, Lénie dors toujours, je la laisse dormir elle en a besoin. Je disposa les viennoiseries sur la table et je m'assois sur une chaise et mangea un peu même si je l'attendais tout de même. Je traînais sur Twitter en particulier.

Lénie :
- Héléna ? T'es où ?
disait-elle alors qu'elle avait encore les yeux fermés.

Je m'approche du lit et m'allonge à ses côtés pour lui caressait les cheveux.

Héléna :
- Je suis là ma Lénie. Tu veux redormir ou venir déjeuner ?

Lénie :
- J'ai pas pris de déjeuner aux courses hier. Tu veux déjeuner des pâtes ?
fit-elle endormit.

Sa voix endormi et ce qu'avait dit Lénie me fit rire.

Héléna :
- Je lui aller à la boulangerie et j'ai pris ta viennoiserie préféré.

Lénie écarquilla les yeux immédiatement et m'embrasse en prenant ma tête entre ses deux mains je lui rendis son bisous.

Lénie :
- Héléna capable Bailly. J'adore cette facette de toi aussi.
fit-elle en souriant.

Héléna :
- Lénie amoureuse Vacher est attendu à la table pour déguster.
souriant aussi près de son oreille.

Lénie :
- J'assume d'être amoureuse d'Hélèna possessive Bailly.

Héléna :
- Je t'aime Lénie Vacher.

Lénie déposa ses lèvres sur celle de la belge avant d'aller déjeuner aux côtés de sa petite femme.  Elles passèrent un long moment à discuter. Leurs discussions étaient toujours sans fin mais passionnante. Elles avaient passé la journée à être collé, à s'embrasser, à se caresser. Mais, il était bientôt 18h et l'heure de partir était bientôt arrivé. Il était 16:45 et le temps d'arriver au château, de rejoindre les autres prendrais du temps.

Héléna :
- Tu es sur que tu ne veux pas venir Lénie ?
lui caressant la joue.

Lénie :
- Oui je suis sur.

Héléna :
- Je veux pas te laisser seule ici... J'ai peur que tu fasses une bêtise.
Avoua la blonde.

Lénie :
- Je...
Les larmes montantes.

Héléna :
- Il est hors de question que je te laisse. Je vais prévenir que...

Lénie :
- Non Héléna. Vas-y. Ne gâche pas ta dernière fois au château pour moi.
coupa t'elle

Héléna :
- Je préfère gâcher ma dernière journée au château que tu t'enlèves la vie quand tu seras seule.

Lénie :
- Tu vas aller au château point final.

Héléna :
- Mais Lénie je...

Lénie :
- L'heure tourne la belge. Va le van doit t'attendre.

Héléna se lève. Enfile son manteau et son écharpe et embrasse Lénie une fois, deux, trois et encore. Elle avait peur.

Héléna :
- Promets le moi que tu ne feras pas de bêtises Lénie.

Lénie :
- D'accord.

Elle n'avait pas promis. Mais Héléna n'avait pas remarqué et elle partit car elle était en retard. Sur le trajet pour rejoindre les autres au château, elle avait peur, terriblement peur pour sa Lénie. Comment allait-elle l'a retrouver à son retour ? Puis elle eut une idée alors qu'elle se dirigeait vers ses amis.

Pierre :
- Gnocci ! Comment ça va ?
en la prenant dans ses bras.

Héléna enlaçe tous le monde rapidement, elle avoua à elle même qu'elle n'allait pas supporter d'être loin de Lénie sans savoir ce que faisait la benjamine. Elle appela donc Lucie aux côtés de Candice et Djebril dans les toilettes du château.

Lucie :
- Salut Héléna ? Que me vaut cet appel ?

Héléna :
- Lucie ! J'espère que je ne te déranges pas, j'espère que tu vas bien. Bref... J'espère tout. J'ai un énorme service à te demander.

Lucie :
- Je ferais tout ce que tu veux dis moi ?

Héléna :
- Peux-tu passer la soirée avec Lénie ? Elle a beaucoup d'idées noirs et je l'ai laissé seule et j'ai très peur.

Lucie :
- J'y vais tout de suite !
fit-elle d'un ton stressé.

Héléna donne l'adresse et le numéro de chambre et lui dit que si Lénie répondait pas quand elle toquera il fallait demander la clé à l'accueil.

PDV LÉNIE :

Cela faisait une heure que j'étais seule dans cette chambre d'hôtel. Héléna était parti et un grand vide s'installa dans mon esprit laissant seulement mes idées noirs faire surfasse. Je me posais plein de questions. Ma vie n'avait tellement plus de sens, je me demandais pourquoi j'étais encore en vie et je ne trouvais pas réponse à cette question. Prise d'anxiété, je prends la boite de médicament d'Héléna, et j'en enfile un, puis deux, puis trois et quatre et pourquoi pas cinq ? Je commence à avoir la tête qui tourne, le sol se met à trembler sous mes pieds et j'entends la porte toquer. Je me dirige vers la porte me prenant le mur de droite puis celui de gauche. J'arrive à ouvrir la porte avant de m'effondrer au sol inconsciente. J'entendais Lucie criait à l'aide puis plus rien. Trou noir.

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NOTE DE FIN :

Lénie n'était donc pas totalement guéri... Moi même en connaissant la suite je redoute le moment où Héléna l'apprend.
Le surdosage est très dangereux, il peut provoquer la mort ou le coma. En tout cas, on verra si Lénie va avoir de la chance en évitant les deux ou pas...

Bonne lecture !

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