Chapitre 20

630 28 4
                                    

PDV LÉNIE :
Je me réveille un peu dans mon monde. Je regarde sur le côté de mon lit et je vois Héléna dormir à point fermé. C'est un truc de fou comment elle est belle même en dormant je pourrais fondre pour chaque partie de son corps, pour son toucher sur le mien. Elle a tellement sauvé ma vie après le château, je ne sais pas comment j'aurais fait sans elle. Le jour où j'ai voulu sauter par la fenêtre et qu'elle est arrivé par miracle, le jour où elle a appelé Lucie pour me rejoindre, Lucie n'aurait pas été là je serais sûrement morte. Je lui dois tellement, elle est adorable avec moi. Parfois, j'ai peur qu'on se dispute , on est très possessive que se soit elle ou moi mais j'adore son côté possessif. Je suis éperdument amoureuse d'elle, je le suis tellement que cela me fait peur. J'ai peur qu'elle me brise le cœur ou que l'on se brise le cœur. Je ne nous le souhaites pas en tout cas. Je l'aime du plus profond de mon cœur et je pourrais donner ma vie pour elle.

Héléna :
- Lénie ?
répèta-t-elle en me regardant.

Lénie :
- Euh... Oui ?
dis-je alors que j'étais dans mes pensées.

Héléna :
- Tu m'écoutais pas quand je te parlais.

Lénie :
- Oh, excuse-moi. J'étais dans mes pensées.

Héléna se redresse et s'allonge sur moi et niche sa tête dans mon cou.

Héléna :
- Et il se passe quoi dans les pensées de Lénie Vacher ?
parlant dans mon cou.

Lénie :
- Et bien,...

??? :
- Lénie ! Héléna ! Vous êtes en retard !

Héléna se décale de moi et je me lève pour aller voir qui crie à ma porte. Quand j'ouvre, je vis Pierre.

Pierre :
- Mais vous êtes même pas habillé ? Dépêchez-vous, je vais dire à Lucie que vous arrivez bientôt et que vous êtes prêtes.

Lénie :
- Merci Pierrot. On se dépêche.

Pierre repartit alors que je ferme la porte.

Héléna :
- C'était qui ?

Lénie :
- Héléna prépare-toi tout de suite on est super en retard pour les répétitions !
mettant un coup de pression

Héléna :
- Lénie autoritaire Vacher ! J'adore cette facette mais non, je ne me lèverai pas.

Lénie :
- Héléna, je rigole pas. Minité va nous jeter dans une poubelle à force.

Héléna :
- À ce que je sache, quand on était au château, on était tout le temps en retard et on ne s'est jamais faite jeter dans une poubelle ?

Lénie :
- Héléna arrête de parler seule et lève toi !

Héléna :
- Mais je te parlais à toi !

Lénie :
- Lève toi !
fit-elle en se préparant.

Helena :
- Non tu es une malade !

Lénie :
- C'est toi tu es une malade à pas te lever alors que tout le monde nous attends !

Héléna :
- J'ai même pas eu mon bisous du matin et tu crois je vais me lever ?

Lénie :
- C'est juste pour ça sérieux ?
fis-je en souriant

Héléna :
- Bah oui.
en croisant les bras et faisant mine de bouder.

Je vais à la valise d'Héléna, je prends des vêtements à elle pour qu'elle s'habille que je laisse bien plier puis je prends un pull de ma valise car elle ne tiendra pas la journée sans mon odeur puis je vais vers elle pour lui donner après l'avoir embrassé tendrement.

Comme toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant