Comme toi

Chapitre 17

PDV LÉNIE :
Je suis épuisé, j'ai la tête qui tourne et j'ai pas souvenirs de l'après prime. Je sais qu'on a fait une fête et que j'ai dû boire pas mal mais je ne me souviens plus trop je dois l'avouer. Je tourne ma tête en direction de la personne qui a son bras sur mon ventre et je vois ma petite femme, la belge. Mais son bras me dérange car ça me fait légèrement mal.

Lénie :
- Héléna... Pousse ton bras roh !

Héléna se réveille en sursaut ce qui me fait rire.

Héléna :
- Tu as pas d'autres manières de réveiller ta petite amie ?

Lénie :
- Je dors laisse moi.

Je me rendormis sur cela à la seconde.

PDV HÉLÉNA :
Lénie a vraiment trop bu hier. Elle a raconté à tous le monde que l'on était ensemble et elle va sûrement le regretter ce matin. Elle m'a embrassé devant tout le monde et elle a aussi eu les mains baladeuses quand on était assise sur le côté. Elle voulait rester mais si c'était pour me faire l'amour en public je préfère largement rentrer. Arrivé à l'hôtel, elle m'a embrassé mais sa bouche pleine d'alcool là beurk. Elle a fini par s'endormir pour mon plus grand bonheur. Mais bon là elle m'a réveillé pour se rendormir. On avait tournée la page du château hier soir après la victoire de Pierre et je pouvais enfin rentrer en Belgique. Je ne savais pas si Lénie voulait toujours venir avec moi ou si elle préférait retourner à la Ciotat mais je pense pas que c'est le moment pour lui poser la question.

Lénie :
- Tu peux me caresser les cheveux ?

Héléna :
- Tu ne dors pas ?

Lénie :
- Si je dors laisse moi tranquille.

Je me mis à rire car elle est vraiment bizarre quand elle boit trop.

Héléna :
- Non te rendors pas lève toi.

Lénie :
- Tu me casses les couilles Héléna.

Héléna :
- Comment tu parles à ta petite amie là ?

Lénie :
- Laisse moi.

Je garde mon calme je sais qu'elle le pense pas et qu'elle est juste tourné de la veille.

Lénie :
- Je me souviens plus d'hier.
relançant la conversation pour la énième fois.

Héléna :
- Normal tu as bu comme une malade.

Lénie :
- Oui bah j'avais besoin de me changer les idées.

Héléna :
- Comme ?

Lénie :
- Comme toi nu dans mon lit.

Héléna :
- Mais Lénie !

Lénie :
- Je rigooooole.

On se met à rire toutes les deux puis elle vient se blottir contre moi. Je me devais de lui raconter toutes les conneries de la veille pour pas qu'elle soit choqué quand on va lui dire félicitations sans qu'elle comprenne. Ah ou sa peut être drôle aussi j'avoue.

Héléna :
- Tu as dit à tout le monde hier.

Lénie :
- Que je te voulais nu dans mon lit ?

Héléna :
- Mais non.
fis-je en rigolant.
- Que toi et moi on était ensemble.

Lénie :
- Orh c'est pas grave.

Héléna :
- Pourtant tu es la première à vouloir que ça reste entre nous.

Lénie :
- Oui bah là je m'en fiche je veux juste te sentir contre moi.