Comme toi

Chapitre 15

PDV LÉNIE :
Aujourd'hui, c'est le jour J. J'ai fait pas mal de bêtises ses derniers temps et je ne recommencerai pas, du moins c'est ce que je me force de me dire pour aller mieux. J'ai passé la soirée à réviser les chansons pour le prime de la finale, je les ai parfaitement sauf peut-être les chorégraphies mais je pense que je vais m'en sortir de plus qu'Héléna m'a beaucoup aidé. J'étais sur le côté passager de la nouvelle voiture d'Héléna. Elle est tellement fière de sa voiture que cela me fait beaucoup rire, elle n'arrête pas de s'en vanter depuis ce matin. Elle est tellement belle quand elle est heureuse et je ne peux pas me permettre de la rendre malheureuse. On écoutait une musique « Windflower » de Billie Eilish. J'adore cette chanteuse et je pense même que c'est une de mes préférés. Je chantais et je la connaissais par cœur. Cependant des paroles de la musique reflété pas mal « le triangle amoureux » de moi, Héléna et Pierre.

Lénie :
- « But I see her, in the back of my mind. All the time ».

Je la regardais dans les yeux alors qu'elle était concentré sur la route. Je pensais à la manière dont elle regardait Pierre pendant le live où elle était retourné au château une dernière fois avec tous les autres.

Héléna :
- Arrête de me regarder, je n'arrive pas à me concentrer sur la route.
dit-elle en rigolant.

Personnellement, je ne rigolais pas. Les paroles reflétaient beaucoup la situation qui m'agacé d'ailleurs.

Lénie :
- « Like a fever, like I'm burning alive, like a sign »

Héléna :
- Elle est triste ta musique change moi ça.

Elle est aveugle ou elle fait l'aveugle ? Peu importe là elle m'énerve. Fin du moins jusqu'à qu'elle pose sa main sur ma cuisse. Tout cela me procura quelques papillons et une réaction pleine de désirs de mon corps.

Héléna :
- J'ai compris les paroles Lénie mais je ne vois pas à quoi tu fais allusion.
dit-elle en me surprenant.

Lénie :
- À Pierre.

Je n'avais pas beaucoup de mots qui sortait de ma bouche, c'est vrai. Mais je n'arrivais pas à dire plus car sa main me déstabilisé. Mais bref, ce n'est pas le sujet.

Héléna :
- À Pierre ?
dit-elle en rapprochant sa main près de la partie qui me faisait, à coup sur, perdre la tête.

Lénie :
- Je... Tu... Oui.
essaie-je de dire complètement déstabilisé.

Héléna :
- Il n'y a rien avec Pierre tu le sais très bien ma Lénie.

S'en était trop ! Le surnom plus sa main qui caresse ma cuisse. Elle jouait avec moi et je comptais bien faire de même. Je commence à détacher ma ceinture pour pouvoir faire ce que je veux en tout tranquillité. Héléna se tourne vers moi fronçant les sourcils se demandant ce que je fais. Je n'y prêta pas attention et je commence à poser ma main droite sur sa cuisse qui lui fit un frisson. Je me redresse pour que mes lèves atteignent son cou tout en mettant ma main sur sa cuisse en la caressant, l'autre avait attrapé son cou. Tout cela pour pouvoir embrasser son cou langoureusement lui décrochant un suçon au passage.

Héléna :
- Lénie ! Tu me fais tellement perdre la tête que je vais en oublier comment conduire une voiture ! Arrête !

Lénie :
- Je veux surtout que tu arrêtes de jouer avec moi.
dis-je mes lèvres contre le creux de son cou.

Héléna rigola à ma phrase. Je savais qu'elle savait très bien ce qu'elle faisait.

Héléna :
- Tu ne peux tellement pas me résister.
dit-elle en riant.