Chapitre 22

664 35 4
                                    

PDV LÉNIE :
Je me dirige vers la chambre d'Héléna, je stresse. Il fallait que je récupère mon téléphone et c'est vrai qu'elle y était resté longtemps dessus. J'étais maintenant devant sa porte, je toqua et personne ne répondit. Peut-être qu'il était tard ? Je n'en sais rien je n'ai pas l'heure. J'allais partir puis la porte s'ouvrit.

Héléna :
- Lénie ? Il est une heure du matin.

Lénie :
- Oh wow ! Désolé... Enfaite... Je... Fin...

Héléna :
- Ton téléphone je suppose ?

Lénie :
- Euh... Ou...Oui. Mais pas seulement...

Héléna :
- Tu peux arrêter de paniquer ? Rentre.

Je rentre dans sa chambre et je... Attends ? Ma valise ? Mais qu'est-ce qu'elle fout là ?

Lénie :
- Ma valise ? Tu me voles maintenant ?

Héléna :
- Ah parce que tu comptais dormir une nuit de plus seule ?
en me rendant mon téléphone.

Je ne réponds pas et prends mon téléphone en fronçant les sourcils.

Héléna :
- Excuse-moi d'avoir douté de toi. J'ai vu tes conversations avec Lola, toutes les fois où tu la recales, toutes les fois où tu lui dis que tu es amoureuse de moi. Je m'en veux Lénie... Je m'en veux énormément.

Lénie :
- C'est pas grave t'inquiète pas. Je suis désolé de ne pas avoir su m'exprimer quand tu me l'as demandé.

Héléna s'approche de moi puis pose ses mains sur mon cou qui me provoqua un tas de frissons puis elle scelle ses lèvres au mienne. Quelle plaisir ! J'attendais tellement, j'avais pas eu ça depuis le début de la journée ! Je recule à contre cœur à bout de souffle.

Lénie :
- Je t'aime Héléna et c'est seulement toi et pour toujours dans mon cœur. Il faut que tu me fasses confiance.

Héléna hocha la tête puis je vais me changer pour dormir. Elle se blottit contre moi et s'endort. Ma main gauche était dans ses cheveux alors que ma main droite était sur mon téléphone. Je l'avais pas eu de la journée et j'avais l'impression d'être retourné au château le temps d'une journée. J'alla dans mes notes car j'écrivais beaucoup sur Héléna, sur chaque chose que je faisais avec elle, que je ressentais pour elle à défaut de lui dire. Cependant, je remarqua un texte que je ne reconnût pas et je savais que ce n'était pas moi qui l'avait écris alors je le lis :

Lénie,

Dès la première fois où je t'ai rencontré, j'ai vu une lumière m'illuminait comme si tu allais éclaircir mon chemin. Au début, je te voyais comme une simple amie avec qui je faisais plein de bêtises. Puis le jour où on m'a dit que tu avais embrassé Lola m'a brisé le cœur et j'ai commencé à réaliser que non, tu n'étais pas une simple amie. Je ne savais pas vraiment ce que je ressentais, je savais que je t'aimais bien et même beaucoup mais je ne savais pas que j'étais déjà tombé amoureuse de toi si tôt dans l'aventure.

Je suis entrain d'écrire ça depuis le van et là je suis enfin rentré à l'hôtel. Je pense à toi actuellement, à Lola aussi et à Lisa. Pourquoi tout le monde est amoureux de toi ? Moi la première mais si je pouvais être la dernière aussi ce serait parfait. Le jour où je t'ai vu sur ce lit d'hôpital, j'avais mal terriblement mal... J'aurais pus mourir avec toi si tu n'aurais pas survécu mais dieu merci tu as survécu ! Je ne le pensais pas quand je t'ai dis que tu me faisais trop de mal car chaque jour, tu rends mon monde meilleur. Désolé d'avoir douté de toi, c'est juste que j'ai peur, peur de perdre, peur qu'on nous sépare.

Comme toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant