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Quand je rentrai à la maison, Paul venait de finir de coucher Thomas. Il m'attendait dans le salon nous installâmes confortablement sur le canapé pour regarder un film. Blottis l'un contre l'autre sous un plaid, l'atmosphère était paisible et intime. Mais ce soir-là, j'étais d'humeur coquine, ce qui surprenait toujours Paul, sachant combien j'étais habituellement pudique.

Je laissai mes doigts glisser doucement sur son bras, puis sur son torse. Il tourna la tête vers moi, intrigué. Je lui lançai un sourire espiègle avant de glisser ma main dans son pantalon. Paul écarquilla les yeux, toujours surpris par mes élans spontanés.

Paul : (souriant) Maryssa, tu es pleine de surprises.

Je ne répondis que par un regard complice et un sourire avant de me glisser sous le plaid. Mes doigts s'affairaient avec une habileté familière, et bientôt, je lui procurai un plaisir qui faisait frémir tout son corps. Alors que l'intensité montait, je relevai la tête un instant, le taquinant avec un éclat de malice dans les yeux.

Maryssa :Ne déchire pas le canapé, Paul.

Il éclata de rire, un son chaleureux et libérateur. Sa réaction me fit sourire encore plus, et je repris mes caresses avec ma bouche cette fois, jusqu'à ce que Paul atteigne l'orgasme, tremblant sous l'intensité du moment.

Lorsque tout fut fini, je remontai sous le plaid et nous nous blottîmes l'un contre l'autre, savourant la chaleur de notre intimité retrouvée. Paul me serra contre lui, le sourire toujours aux lèvres.

Paul : Je t'aime, Maryssa. Merci pour ce moment.

Je déposai un baiser sur sa joue, heureuse de le voir ainsi.

Maryssa :Je t'aime aussi, Paul. Toujours et encore.

Alors que nous étions blottis l'un contre l'autre, savourant notre proximité retrouvée, Paul commença à son tour à me caresser doucement. Ses mains explorèrent mon corps avec tendresse, et il me débarrassa de mon soutien-gorge. Juste au moment où l'intensité montait, nous entendîmes une petite voix derrière nous.

Thomas : Maman ? Papa ?

Nous nous figeâmes instantanément, le rouge nous montant aux joues. Paul et moi nous redressâmes précipitamment, essayant de dissimuler notre gêne. Thomas se tenait là, dans son pyjama, frottant ses yeux de sommeil.

Paul : (avec un sourire embarrassé) Hé, bonhomme. Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure ?

Je remis rapidement mon soutien-gorge et tendis les bras vers Thomas.

Maryssa :Viens ici, mon cœur. Tu as fait un cauchemar ?

Thomas hocha la tête et se blottit contre moi, ses petites mains s'agrippant à ma chemise. Paul se leva pour aller chercher un verre d'eau et son doudou, laissant le temps à la situation de se détendre un peu.

Paul : (en revenant) Voilà, mon grand. On va te recoucher, d'accord ?

Nous nous levâmes tous les deux et accompagnâmes Thomas jusqu'à sa chambre, veillant à ce qu'il soit bien installé et rassuré. Après l'avoir bordé et lui avoir chanté une berceuse, nous retournâmes au salon, échangeant un regard à la fois amusé et gêné.

Maryssa :Je crois que nous devrions être un peu plus prudents à l'avenir.

Paul : (riant doucement) Oui, tu as raison. Mais au moins, cela nous a donné un bon souvenir à raconter quand il sera plus grand.

Après avoir veillé à ce que Thomas soit bien endormi, nous retournâmes au salon. Mais, la tension de notre moment intime interrompu n'avait pas complètement disparu. Nous décidâmes finalement d'aller nous coucher, laissant le film de côté. Paul, cependant, avait une idée derrière la tête que je n'avais pas encore devinée.

Mon aventure avec Paul Wesley. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant