Mon aventure avec Paul Wesley.

Chapitre 77

Le soir, tandis que Paul se détendait à la table de la cuisine, j'étais concentrée sur la préparation du repas. Mes gestes étaient hésitants, mais déterminés. Je voulais vraiment lui montrer que je faisais des efforts.

Paul : (en riant doucement) Maryssa, tu sais que je t'adore, mais peut-être que je devrais prendre le relais avant que tu n'intoxiques tout le monde.

Je ne pus m'empêcher de rire, le soulagement et l'amusement se mélangeant.

Maryssa : (en souriant) D'accord, tu gagnes cette fois-ci. Mais je veux apprendre, alors je te regarde et j'essaie de t'aider.

Paul se leva, prit les ustensiles de mes mains et commença à cuisiner avec une aisance naturelle. Je m'assis à la table, l'observant avec admiration et reconnaissance.

Paul : (tout en préparant le repas) Tu vois, le secret, c'est de garder les choses simples. Utiliser des ingrédients frais, et ne pas compliquer les choses.

Maryssa : (en souriant) Je prends des notes, chef.

Nous continuâmes à discuter, nos conversations devenant de plus en plus naturelles et détendues. Pour la première fois depuis longtemps, je sentais une véritable connexion entre nous.

Alors que Paul préparait les ingrédients avec une dextérité habituelle, je pris une profonde inspiration, sentant l'urgence de m'ouvrir à lui.

Maryssa : (d'une voix douce) Paul, je suis vraiment désolée pour tout. Je ne sais pas quoi faire pour arranger les choses. Finalement, tu es la seule relation sérieuse que j'ai jamais eue, et je suis complètement perdue.

Paul arrêta de couper les légumes et se tourna vers moi, une expression douce mais sérieuse sur le visage.

Paul : (posant les ustensiles) Maryssa, je sais que c'est difficile. Mais ce que je veux, c'est que tu sois honnête avec moi, que tu partages tes peurs et tes espoirs. On doit être une équipe.

Maryssa : (les larmes aux yeux) Je t'aime tellement, Paul. Je suis juste tellement effrayée de te perdre, de ne pas être assez bien pour toi. Je veux te rendre heureux, mais je ne sais pas comment.

Paul : (s'approchant de moi et prenant mes mains) Tu es déjà tout ce dont j'ai besoin. Ce qui compte, c'est qu'on reste ensemble, qu'on se soutienne. On n'a pas besoin d'avoir toutes les réponses tout de suite. On doit juste avancer, un pas à la fois.

Je sentis les larmes couler sur mes joues alors que Paul me serrait dans ses bras. Son étreinte était chaude et réconfortante, et pour la première fois depuis longtemps, je sentais un véritable espoir pour notre avenir.

Maryssa : (en sanglotant doucement) Merci, Paul. Merci de ne pas abandonner. Je te promets que je vais tout faire pour qu'on aille mieux, ensemble.

Paul : (caressant mes cheveux) On va y arriver, Maryssa. Ensemble, on peut tout affronter.

Nous restâmes ainsi, enlacés, le bruit de la mer en arrière-plan, nos cœurs battant à l'unisson. Le chemin serait long, mais pour la première fois, je savais que nous étions prêts à le parcourir ensemble.

Alors que nous restions enlacés, je levai les yeux vers Paul, nos regards se croisant dans une compréhension mutuelle. Ses yeux brillaient d'une tendresse infinie, et je sentis un frisson me parcourir.

Paul : (d'une voix douce) Maryssa, je t'aime trop. Je ne peux pas résister à toi, et je ne peux pas t'en vouloir trop longtemps.

Je sentis mon cœur se gonfler d'amour et de gratitude. Lentement, Paul approcha son visage du mien, et nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser doux et passionné. Tout ce que nous avions traversé semblait se dissoudre dans ce moment d'intimité.

Paul : (murmurant contre mes lèvres) Tu es tout pour moi.

Maryssa : (soupirant de bonheur) Et toi pour moi.

Nous nous éloignâmes de la cuisine, nos baisers devenant plus intenses et nos mains explorant chaque recoin de notre corps. Nous atteignîmes la chambre, nos vêtements se dispersant sur le sol, témoins silencieux de notre désir renaissant.

Cette nuit-là, nous fîmes l'amour avec une passion et une tendresse retrouvée, chaque geste, chaque souffle, étant une promesse de notre engagement à nous battre ensemble. Après ce moment d'intimité, nous restâmes enlacés, nos corps enchevêtrés, respirant à l'unisson.

Paul : (caressant mon visage) Maryssa, je t'aime plus que tout. Peu importe ce que nous devons affronter, je suis là, et je serai toujours là.

Maryssa : (larmes de bonheur aux yeux) Moi aussi, Paul. Nous sommes plus forts ensembles.

Nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre.