Chapitre 25

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Il frappa doucement à la porte, et je lui ouvris, essayant de cacher ma nervosité.

Paul : Salut, Maryssa. Comment s'est passée ta journée ?

Maryssa : Assez bien, merci. On peut s'asseoir et parler ?

Nous nous installâmes sur le canapé, et je plongeai directement dans le vif du sujet.

Maryssa : Paul, j'ai besoin de comprendre pourquoi tu es pas venu hier soir sans me donner de nouvelles. Ça m'a laissée vraiment perplexe et inquiète.

Paul baissa les yeux, visiblement mal à l'aise.

Paul : Je suis désolé, Maryssa. J'ai eu des choses à régler et j'ai été submergé. Ce n'est pas une excuse, je ne voulais pas te laisser dans l'incertitude.

Maryssa : J'ai besoin de savoir si tu es vraiment sérieux à propos de nous. J'ai peur de m'ouvrir à toi et de me faire à nouveau blesser.

Paul : Je comprends ta peur. Et je suis sérieux, Maryssa. J'ai été maladroit et je le regrette. Je veux vraiment qu'on ait une chance, mais je sais que je dois te prouver que tu peux me faire confiance.

Maryssa : D'accord, mais il faut que tu sois honnête et transparent avec moi. Je ne peux pas revivre ce que j'ai vécu l'année dernière.

Paul : Je te le promets, Maryssa. Je vais faire de mon mieux pour te montrer que je suis sincère.

Nous nous regardâmes, un mélange d'espoir et de prudence dans nos yeux. Peut-être que cette fois-ci, nous pourrions vraiment reconstruire ce que nous avions perdu.
On s'embrassa très langoureusement.

Paul : prend tes affaires et on monte dans ma suite ?

Maryssa : Je suis désolé, je veux pas te blesser mais je préfère garder ma chambre à moi. On se voit, on dort ensemble si on en a envie mais qu'on est chacun notre chambre

Paul : Je comprends tes réticences ne t'inquiète pas mais je peux t'inviter à dormir dans ma chambre ce soir ?

Maryssa : oui pas de soucis.

Paul : Je sens que tu vas pas bien Mary

Mary : non non ça va

Paul : dis-moi

Maryssa : juste que je sais pas comment me comporter avec toi. Hier tu m'oublie et aujourd'hui tu veux que je m'installe avec toi dans la suite

Paul : je suis vraiment désolé pour hier. Si tu savais comment je m'en veux

Maryssa : un message ! Un seul message et j'aurai compris.

Paul : Je suis désolé mais il fallait que je règle tout ça et j'ai pas pris le temps de toucher mon téléphone

Maryssa : et tu sais quoi ? Même si tu étais arrivé à 4h du matin je t'aurai ouvert.

Paul : je suis désolé vraiment

Maryssa : tu as réglé quoi ?

Paul : tu as pas besoin de savoir. Bon aller viens on monte je nous commande à manger

Maryssa : d'accord.

Je pris quelques affaires et je montai avec lui dans la suite. Elle était magnifique. Paul commanda des pizzas.

Paul : mon cœur ?

Wawou, je reçu comme un électrochoc de l'entendre me parler avec un surnom

Maryssa : oui ?

Paul : on se douche vite fais ?

Maryssa : euh oui

Je me tenais sous la douche, sentant l'eau chaude caresser ma peau. À côté de moi, Paul souriait, ses yeux pétillants d'une lueur taquine. Il connaissait chaque centimètre de mon corps par cœur, anticipant mes réactions avec une précision déconcertante.

Je levai les yeux vers lui, un frisson agréable parcourant mon corps à sa proximité.

Paul s'approcha un peu plus, l'eau ruisselant sur son dos musclé. Ses doigts effleurèrent ma peau, laissant derrière eux une sensation de chaleur. Je fermai les yeux, savourant chaque contact familier mais toujours aussi intense.
Mes mains cherchant instinctivement à toucher Paul.
Il m'attira doucement contre lui, partageant avec moi la chaleur de l'eau et de nos corps entrelacés.
Nous restâmes là, perdus dans notre propre bulle, où chaque sensation semblait décuplée par notre connexion profonde. La douche continuait de couler, ignorant le temps qui passait autour de nous.

Ça toqua à la porte.

Paul : j'y vais

Paul parti récupérer les pizzas pendant que je me séchais.

Je le rejoignis vêtu d'un simple peignoir.

Paul : bon appétit mon cœur

Maryssa : bon appétit

Nous mangeâmes notre pizza.

Paul : télé ce soir ?

Maryssa : être dans tes bras

Paul me tira sur le lit. Je calai ma tête sur son torse pendit qu'il zappait les chaînes à la télé.

Paul trouva finalement une émission qui semblait intéressante et posa la télécommande sur la table de chevet. Ses bras autour de moi me donnaient un sentiment de sécurité et de confort, comme si rien d'autre ne comptait dans ce moment précis.

Maryssa : C'est parfait.

Paul embrassa le sommet de ma tête et caressa doucement mes cheveux.

Paul : Tu es parfaite.

Je levai les yeux vers lui, capturant son regard chaleureux et sincère. Chaque instant passé ensemble semblait renforcer notre complicité et notre amour mutuel.

Maryssa : Je t'aime, Paul.

Paul sourit tendrement.

Paul : Je t'aime aussi, Maryssa. Plus que tout.

Nous restâmes là, enlacés, perdus dans notre bulle d'intimité et de tendresse, tandis que le temps semblait suspendu autour de nous.

Le calme régnait dans la chambre, seulement interrompu par le son apaisant de nos respirations synchronisées. La chaleur de notre proximité et le doux murmure de la télévision en arrière-plan créaient une atmosphère intime et paisible.

Paul passa doucement sa main sur mon dos, traçant des cercles réconfortants.

Paul : Tu es mon refuge, Maryssa.

Je souris, sentant mon cœur se remplir de bonheur.

Maryssa : "Et toi le mien, Paul."

Nous restâmes silencieux un moment, simplement savourant la présence de l'autre. Puis, Paul brisa le silence avec un léger rire.

Paul : Tu te souviens de la première fois où nous nous sommes rencontrés ?

Je levai les yeux vers lui, un sourire complice naissant sur mes lèvres.

Maryssa : Comment pourrais-je oublier ? Tu étais si sûr de toi, comme d'habitude.

Paul rit doucement, se remémorant les débuts de notre histoire.

Paul : Et toi, tu étais si captivante. Je savais dès ce moment que tu étais spéciale.

Je caressai doucement sa joue, ressentant une profonde gratitude pour l'amour que nous partagions.

Maryssa : Nous avons parcouru un long chemin depuis ce jour-là, et je ne voudrais être nulle part ailleurs qu'ici, avec toi.

Paul m'attira plus près de lui, scellant nos paroles avec un baiser tendre.
Puis ont fini par s'endormir dans les bras l'un de l'autre.

Mon aventure avec Paul Wesley. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant