Mon aventure avec Paul Wesley.

Chapitre 42

Nous sommes arrivés à Rome vendredi dans la journée. Paul et moi avons décidé de partir visiter la ville. En chemin, nous avons croisé quelques fans qui nous ont demandé des photos. À chaque fois, je me suis retirée à l'écart.

Paul : Ça te dérange ?

Maryssa : Non, pas du tout. Je préfère simplement me mettre à l'écart, car je sais que les fans sont là pour toi, pour Stefan, pas pour la maquilleuse.

Paul : Tu es ma femme.

Maryssa : Oui, mais ils ne sont pas là pour moi. C'est ta vie publique, pas la mienne.

Paul : Mais tu fais partie de ma vie.

Maryssa : Ne t'inquiète pas pour moi, je suis à l'aise comme ça.

Nous sommes arrivés devant la Fontaine de Trevi, où nous avons jeté une pièce en faisant un vœu.

Je souhaite être heureuse dans tes bras pour toute la vie, ai-je murmuré.

Paul : Tu as fait un vœu sur nous ?

Maryssa : Oui, et toi ?

Paul : Bien sûr.

Nous avons continué notre promenade main dans la main jusqu'à trouver un café où nous nous sommes installés.

Paul : Tu es heureuse ?

Maryssa : Euh... Oui, enfin, oui je suis heureuse mais je vis pas sereinement.

Paul : Pourquoi ? Il faut que tu me parles de tout ça.

Maryssa : Et si tu décidais de repartir ? Je sais que tu me prouves tous les jours ton amour mais j'ai toujours ce doute au fond de moi.

Paul : Tu n'es pas totalement guérie... Et ça ne va pas prendre du temps. Et ne pense pas que j'essaie de te prouver quelque chose, je me comporte comme tu mérites qu'on se comporte pour toi.

Maryssa : Tu as raison, je ne suis pas guérie.

Paul : Mais tu ne pourras pas guérir, Mary. Parce que tu veux redevenir celle que tu étais avant, parce que pour toi j'aimais cette personne-là, et oui c'est le cas, je t'aimais mais je t'aime encore plus aujourd'hui. Donc oublie la personne que tu étais, elle n'existe plus. Aujourd'hui, tu es une nouvelle personne hyper forte.

Les mots de Paul me touchaient et des larmes se mirent à couler.

Paul essuya mes larmes.

Paul : Ne pleure pas.

Maryssa : Tu as tellement raison.

Paul : Tu veux qu'on rentre ?

Maryssa : Non, non, on est bien dehors. Comment ça se passe les conventions ?

Paul : C'est des journées hyper longues. On a souvent des panels et après on alterne entre les photos solos, les duos, ou tous ensemble, puis les autographes.

Maryssa : D'accord.

Paul : Je ne te garde jamais loin de moi, t'inquiète pas, mais si c'est trop long, tu me fais signe et tu vas faire un tour ou quoi ?

Maryssa : Oui, oui, t'inquiète pas. Je me renseigne pour pouvoir t'accompagner au mieux.

Daniel nous rejoignit.

Daniel : Salut Mary, comment ça va ?

Maryssa : Mieux que la dernière fois que je t'ai vu.

Daniel : Je suis désolé pour ce qui s'est passé.

Maryssa : N'en parlons plus.

Daniel : Je suis heureux de vous revoir ensemble.

Daniel passa le reste de l'après-midi avec nous. Puis, dans la soirée, nous nous retrouvâmes tous dans un restaurant pour goûter les fameuses pizzas italiennes.

Paul n'arrêtait pas de me taquiner. Il essaya à plusieurs reprises de piquer dans mon assiette, sachant très bien qu'après quatre parts de pizza, je lui donnerais le reste.

Ian : Ça fait tellement de bien de voir Paul comme ça.

Nina : Oh oui.

Daniel : On ne peut pas dire que c'est grâce à nous.

Joseph : Comme quoi le destin rassemble toujours les gens qui s'aiment !

Maryssa : Oui, mais récupérez un peu votre ami parce que maintenant, c'est moi qui l'embête.

Paul : Je rattrape le temps où je n'ai pas pu le faire.

Paul coupa un morceau de pizza et essaya de me le mettre dans la bouche, mais il tomba sur ma chemise blanche.

Paul : Oups.

Maryssa : Tu mérites d'être tâché toi aussi.

Paul : Non, je suis désolé.

Je pris de la sauce tomate avec mon doigt et lui en mis partout sur le visage.

Maryssa : On est quitte.

Paul : Ouais, ouais.

Nous n'arrêtâmes pas de rire puis nous rejoignîmes nos chambres d'hôtel.

Paul m'embrassa langoureusement, je mis mes jambes autour de sa taille. Nous passâmes un moment intime très intense. Une fois nos corps séparés, nous nous regardâmes avec beaucoup d'amour.

Paul : Je t'aime Mary, vraiment fort.

Maryssa : Moi aussi, mon amour.

Paul me prit dans les bras et nous nous endormîmes.