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Lorsque Paul rentra de la convention, je me jetai dans ses bras dès qu'il franchit la porte, un sourire immense sur le visage. J'étais tellement heureuse de le retrouver, et il semblait également soulagé d'être de retour à la maison.

Maryssa :(souriant et serrant Paul) Tu m'as tellement manqué, Paul. Je suis si heureuse que tu sois de retour.

Paul : (souriant) Toi aussi, tu m'as manqué, Maryssa. C'est bon d'être à la maison.

Après avoir passé un peu de temps ensemble à la maison, nous décidâmes de profiter de l'après-midi ensoleillé pour aller nous promener au parc avec Thomas et notre fidèle compagnon Greg. C'était une belle journée, et la promenade au parc nous permit de nous reconnecter en famille.

Le soir, après avoir couché Thomas, je sentis que le moment était venu d'aborder un sujet qui me pesait depuis longtemps. Je savais que Paul avait été incroyablement patient et compréhensif, mais il était temps pour moi de m'excuser et de parler ouvertement de nos relations intimes, ou plutôt de leur absence depuis l'incident.

Nous nous installâmes sur le canapé, et je pris une profonde inspiration avant de commencer.

Maryssa :(hésitante) Paul, il y a quelque chose dont je veux te parler. C'est important pour moi.

Paul : (inquiet) Bien sûr, Maryssa. Qu'est-ce qu'il y a ?

Maryssa :(émue) Je sais que depuis l'incident, je n'ai plus été capable de faire l'amour avec toi. Je suis désolée de t'avoir laissé de côté. Je sais que tu as été incroyablement patient et compréhensif, mais je veux que tu saches que je ne t'ai jamais oublié.

Paul me prit la main, ses yeux montrant une profonde compréhension et compassion.

Paul : (doucement) Maryssa, tu n'as pas à t'excuser. Ce que tu as vécu est terrifiant, et c'est normal que cela prenne du temps pour guérir. Je suis ici pour toi, et je suis prêt à attendre aussi longtemps que nécessaire.

Maryssa :(les larmes aux yeux) Merci, Paul. Mais je veux que tu saches que je suis prête à essayer de retrouver cette intimité avec toi. Je t'aime tellement, et je veux que nous retrouvions cette partie de notre relation.

Paul : (tendrement) Je t'aime aussi, Maryssa. Nous allons y aller doucement, à ton rythme. Il n'y a aucune pression. Ce qui compte, c'est que nous soyons ensemble et que nous continuions à avancer.

Nous nous embrassâmes doucement, et je sentis une vague de soulagement m'envahir. Paul avait raison : nous irions à mon rythme, sans pression, et avec tout l'amour et le soutien dont j'avais besoin. Cette conversation marquait un pas important vers la guérison complète de notre relation.

Cette nuit-là, nous passâmes du temps à parler, à nous reconnecter émotionnellement et à partager nos espoirs et nos craintes. Peu à peu, je sentais que nous retrouvions notre intimité, non seulement physique, mais aussi émotionnelle.

Mon aventure avec Paul Wesley. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant