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Le retour à notre routine après ce séjour chez Ian et Nikki s'est fait avec une fluidité apaisante. Chaque moment passé ensemble, chaque sourire échangé avec Paul et chaque petit geste de Thomas renforçaient notre sentiment de gratitude et de contentement.

Paul : (souriant) C'est bon de retrouver notre petit cocon, n'est-ce pas ?

Maryssa : (heureuse) Oui, absolument. La maison a une atmosphère tellement réconfortante.

Les journées se déroulaient avec une belle harmonie. Nos matinées étaient rythmées par des promenades avec Greggy et des jeux avec Thomas, qui semblait grandir et s'épanouir chaque jour. Les après-midi, Paul se consacrait à ses projets professionnels tandis que je profitais de moments de calme pour me ressourcer.

Maryssa : (appréciative) J'aime tellement nos promenades matinales. C'est un moment parfait pour commencer la journée.

Paul : (riant) Et Greggy adore ça aussi, n'est-ce pas, vieux garçon ?

Les soirées, quant à elles, étaient empreintes de douceur et de complicité. Nous partagions des repas simples mais savoureux, regardions des films ensemble et discussions longuement de tout et de rien. Chaque instant semblait précieux, comme un trésor à chérir.

Paul : (pensif) Je réalise à quel point ces moments simples sont les plus précieux.

Maryssa : (souriant) Oui, c'est vrai. C'est dans ces moments-là que je me sens vraiment comblée.

Notre routine, loin d'être monotone, nous apportait une stabilité et une sérénité profondes. Nous savions que chaque jour était une nouvelle opportunité de renforcer notre amour et de savourer notre vie de famille.

Paul : (la regardant tendrement) Je suis tellement heureux de notre vie ensemble, Maryssa. Chaque jour avec toi et Thomas est un cadeau.

Maryssa : (émue) Moi aussi, Paul. Je ne pourrais pas être plus heureuse.

Et ainsi, avec Greggy toujours à nos côtés et Thomas apportant une joie indescriptible à nos vies, nous continuions à avancer ensemble, main dans la main, avec l'assurance que notre amour et notre famille étaient les plus grandes richesses de notre existence.

Un soir, alors que nous étions tous deux assis dans le salon après avoir mis Thomas au lit, Paul entama une conversation qui semblait lui tenir à cœur depuis un moment.

Paul : (hésitant) Maryssa, je voulais te parler de quelque chose d'important.

Maryssa : (curieuse) Bien sûr, mon amour. De quoi s'agit-il ?

Paul : (prenant une grande inspiration) Je pense qu'il est temps pour nous d'acheter une maison. Actuellement, nous vivons dans mon appartement et tu as le tien. Mais je crois que ce serait bien de trouver un endroit qui soit vraiment le nôtre, quelque chose en commun.

Maryssa : (inquiète) Une maison ? Où est-ce que tu voudrais acheter ?

Paul : (enthousiaste) J'ai toujours rêvé de vivre à Los Angeles. Ça serait parfait pour notre famille, et pour mon travail, c'est l'idéal.

Maryssa : (hésitante) Los Angeles ? Mais, Paul, c'est loin de ma famille. Je ne sais pas si je suis prête à être aussi éloignée d'eux.

Paul : (frustré) Je comprends tes inquiétudes, mais c'est aussi important pour moi. Nous devons penser à notre avenir et à celui de Thomas. Los Angeles offre tellement d'opportunités.

Maryssa : (haussant la voix) Mais ma famille est ici ! Et toi, tu as ta famille ici aussi. Comment pourrais-je être heureuse loin d'eux ?

Paul : (se levant, agacé) Pourquoi ne peux-tu pas comprendre que c'est aussi un rêve pour moi ? Tu veux toujours rester près de ta famille, et moi, je dois toujours m'adapter !

Maryssa : (furieuse) Ce n'est pas vrai, Paul ! J'essaie juste de penser à ce qui est le mieux pour notre famille. Et être loin de nos racines n'est pas la solution !

Paul : (exaspéré) On ne peut pas continuer comme ça, Maryssa. On doit trouver un compromis.

Maryssa : (les larmes aux yeux) Peut-être que nous devrions réfléchir chacun de notre côté ce soir.

Paul : (calmant sa voix) Très bien. Faisons ça.

Pour la première fois, nous passâmes la nuit dans des chambres séparées. Paul prit le canapé, tandis que je restai dans notre chambre. Cette distance physique reflétait la distance émotionnelle qui s'était installée entre nous. Les pensées tourbillonnaient dans ma tête, et je savais qu'il fallait trouver une solution, mais en cet instant, tout semblait tellement compliqué et douloureux.

Mon aventure avec Paul Wesley. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant