Mon aventure avec Paul Wesley.

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Tout le monde se préparait pour notre sortie en ville. Je m'occupais de préparer Thomas, lui mettant son manteau et son bonnet. En ajustant son écharpe, je lui rappelais doucement :

Maryssa : Thomas, tu dois être gentil aujourd'hui, d'accord ? Pas de caprices, promis ?

Thomas acquiesça d'un signe de tête, mais je sentais déjà qu'il était un peu agité. Nous sortîmes tous pour nous diriger vers les voitures, mais au moment de partir, Thomas commença à faire un caprice.

Thomas : Je veux aller avec parrain et marraine ! Pas avec vous !

Je pris une grande inspiration et essayai de lui expliquer calmement :

Maryssa : Thomas, il faut bouger ton siège auto, et ça va prendre du temps. Il vaut mieux rester avec nous pour le moment.

Mais Thomas refusa de m'écouter, devenant de plus en plus ingérable. Paul, restant calme, s'agenouilla à son niveau et lui parla doucement mais fermement.

Paul : Thomas, si tu continues à faire un caprice, le père Noël ne passera pas cette année. Il ne vient que pour les enfants sages.

Thomas cessa immédiatement de crier et regarda Paul avec des yeux grands ouverts, les larmes aux bords des yeux.

Thomas : Mais je veux aller avec parrain et marraine...

Paul : On peut peut-être faire un compromis. Si tu montes dans notre voiture maintenant sans faire de caprice, on pourra voir pour que tu passes un peu de temps avec eux quand on arrive en ville. Qu'en dis-tu ?

Thomas réfléchit un moment, puis acquiesça lentement.

Thomas : D'accord, papa.

Nous montâmes dans la voiture, mais une fois en ville, Thomas recommença à ne rien écouter. J'étais à bout, et en parlais à ma mère.

Maryssa : Maman, Thomas fait vraiment n'importe quoi. Je ne sais plus quoi faire.

Ma mère tenta de me réconforter, mais Thomas continua ses bêtises. Paul, voyant que la situation ne s'améliorait pas, prit une décision ferme.

Paul : Thomas, ça suffit. On rentre à la maison.

Thomas hurla et pleura, mais Paul resta calme et déterminé.

Thomas : Non, je veux rester !

Paul : Non, tu as fait trop de caprices. On rentre.

Je décidai de rester en ville avec le reste de la famille pendant que Paul et Thomas rentraient. Je les regardai partir avec un mélange de frustration et de soulagement. C'était difficile, mais je savais que Paul faisait ce qu'il fallait pour remettre de l'ordre. Ma mère me prit la main et nous continuâmes notre promenade en ville, essayant de profiter malgré tout de cette journée festive.

Pendant que Paul était rentré à la maison avec Thomas, je ne pouvais m'empêcher de penser à eux. Mon esprit vagabondait, rendant difficile de profiter pleinement de notre sortie en ville. Je pris mon téléphone et envoyai un message à Paul pour savoir comment ça se passait.

Maryssa : Est-ce que Thomas s'est calmé ?

Quelques minutes plus tard, Paul répondit en envoyant une photo de Thomas profondément endormi sur le canapé, son doudou serré contre lui.

Paul : Oui, il dort comme un ange.

Je soupirai de soulagement et tapai rapidement une réponse.