10.🥀

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salem aleycoum,

précédemment:

Malik: C'est toi qui a voulu que je te frappe je n'en avais pas l'intention de le faire et au passage je ne t'ai jamais considérer comme ma fille tu n'était que le bonne à tout faire.Tu n'as que ce que tu mérite Amel. J'espère ne plus croiser ton chemin et ne plus entendre parler de toi. J'aurais voulu te voir morte devant mes yeux. Et bonne chance avec ton nouveau maitre...


[...]

Je me suis endormis le coeur lourd.Les paroles de Malik ne cessait de tourner en boucle dans ma tête. La tristesse et l'angoisse m'enveloppait. Chaque fois que je fermais les yeux, ses mots durs résonnaient dans ma tête, me laissant une peur profonde. Au petit matin je me suis réveillée en sursaut, secouée par ma belle-mère qui me lançait une robe sale et abimée. Ses yeux exprimaient une dureté et une méchanceté qui ne laissaient aucun doute sur ses intention. Par la suite elle m'ordonna d'aller me laver et préparer. je fais donc se qu'elle me dit de faire.

En sortant de la cave, chaque pas semblait résonner comme un échos dans le silence.
La lumière du jour, filtrée par les fenêtre poussiéreuses. Devant moi se tenait un homme sorti tout droit d'un cauchemar.
Il était assez grand et ballonné.
Ses vêtements étaient sale et usés. Son regard était sombre et son visage était marqué par de profondes cernes et quelques cicatrices, comme si la vie avait laissé en lui des traces indélébiles.
Son visage est dominé par un nez crochus et des yeux perçant qui semblent chercher quelque chose de mauvais. Ses cheveux roux et gras tombent de façon désordonnées sur son front.     Une odeur nauséabonde se dégage de lui, un mélange d'alcool et de sueur.

L'air autour de lui semblait devenir plus lourd comme si sa présence absorbait la lumière et la chaleur. Son regard perçant était diriger sur moi, dégageant une aura d'intimidation et de menace rendent chaque seconde passée a ses côtés encore plus oppressante.

Je me sentais submergée par une vague une vague de désespoir et de peur. Mon coeur battait à toute vitesse, et mes mains tremblait légèrement alors que je tentais de contrôler mon angoisse. La présence de cet homme me mettait mal à l'aise, et je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qui m'attendait. Le sentiment de vulnérabilité était écrasant, et l'incertitude de ce futur proche, marqué par des défis inconnus, me terrifiait.

J'étais complètement perdue dans un tourbillon d'émotions contradictoires, me demandant si j'allais pouvoir trouver une issue, une lueur d'espoir dans cette situation désespérée.

Alors que l'homme s'approchait, un frisson parcouru tout mon corps. Son sourire, qui se voulait rassurent ne faisait qu'accentuer ma peur. 

L'homme: Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer.                                                                                              

Je pouvais percevoir le mensonge derrière ses paroles.                                                                                  Chaque mots semblait résonner comme une menace.

Mon coeur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait exploser. Je voulais fuir, mais mes jambes refusait de m'obéir, comme si elles étaient paralysées par la peur. Lorsqu'il saisit mon bras avec une emprise ferme, je frissonnai, le dégoût et la terreur se mêlant à moi.

Lui: On doit y aller maintenant.                                                                                                                              

Insista-t-il, sa voix devenant plus autoritaire.                                                                                                            Je tentais de me débattre mais en vain il était beaucoup plus fort que moi.                                             Une vague de panique m'envahis alors que je réalise se qu'il m'attends.

Je lève mes yeux vers lui, mais aucun mots ne sortis de ma bouche. Je me sentais piégée, sans issue. Son sourire avait complètement disparu, laissant place à un regard froid.

Lui: Si tu crois que tu a le choix tu te trompes.

Sans me laisser dire quoi que se soit il me tira brusquement vers la sortie de chez moi sous les regards ravis de mon père, ma belle-mère ainsi que ma belle-soeur.

Ils regardaient cette scène avec joie comme si ils assistaient à un spectacle.

Chaque pas que je faisait me remplissait de terreur et d'angoisse rien qu'en pensent a se qu'il pourrait m'attendre...

[...]

On arrive enfin devant un grand immeuble, nous montons dans l'ascenseur l'homme n'arrêtait pas de me fixer. Il sourit avant de me dire:

l'homme: Moi c'est Gerlald, il ne faut pas que tu es peur de moi Amel... j'suis gentil ne t'inquiète surtout pas.

Ses paroles me faisait froid dans le dos on dirait qu'il était atteint mentalement.

Une fois arrivée a son étage, il me fit rentrer chez lui. Je suis immédiatement frappé par l'état des lieux. L'appartement était complètement en désordre, les meubles retourner certain mêmes casser, des bouts de verres par terres ainsi que des bouteilles d'alcool et des paquets de cigarettes éparpiller  partout sur le sol. Une odeur nauséabonde s'échappe de cet appartement.  C'était écœurant, comme si il n'avait pas été nettoyer depuis des années. J'étais encore étonner de l'état de cet appartement quand il me tira brusquement par le bras.

Gerald: Viens je vais te montrer ta chambre à moins que tu veuille dormir avec moi (clin d'oeil)

Il me fait vraiment peur, ses paroles me font froid dans le dos, il me tenait encore le bras de plus en plus fort. On arrive devant une porte, la porte était sale et abimée. Il sort les clés de sa poche, il ouvre la porte et me pousse à l'intérieur et referme aussi tôt la porte à clés. Je ne voyais absolument rien, la pièce était plonger dans le noir total, j'essaye de voir si il y'a quelques choses dans lequel je pourrais m'assoir mais rien...                                                                                            Je faisais le tour de la pièce en touchant les murs, il n'y avais absolument rien à l'intérieur, même pas une lampes, ni de lumière, ni de fenêtre. Je me dirige vers la porte j'essaye de l'ouvrir mais en vain il l'avait bien évidemment fermer a clés, je décide de toquer pour qu'il m'ouvre, cette pièce m'oppressait  et l'obscurité ne me rassurait absolument pas...                                          J'entend des pas se diriger vers cette porte puis des clés s'insérer dans la serrure.                            La porte s'ouvrit brusquement sur quelqu'un dont le visage était pas visible à cause de l'obscurité. Je sens la personne me tirer hors de la pièce. C'était Gerald il avait les yeux rouges et sentait fortement l'alcool. Il se mit a me fixer et rapprocher son visage de plus en plus près avant de me...


À SUIVRE...

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