𝓓𝓮𝓼 𝓵𝓪𝓻𝓶𝓮𝓼 𝓪𝓾 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓾𝓷 𝓶𝓪𝓻𝓲𝓪𝓰𝓮 𝓲𝓷𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓾.

12.🥀

salem aleycoum,

précédemment: Elles étaient toutes couvertes de bleus et leur visage étaient très creuser. J'étais tellement absorber par ces tableaux que je n'avais même pas remarquer que la porte c'était ouverte...

[...]

c'était Gérald, les yeux rouges sang, une démarche désordonnée. L'odeur de l'alcool flottait autour de lui, emplissant rapidement la pièce.

Gérald: Qu'est-ce que tu fais là, Amel ?

Sa voix rauque et menaçante portait le poids de son ivresse et de sa colère. Ses paroles étaient d'une fureur amplifiée par son état.

Il s'avança vers moi, trébuchant légèrement à chaque pas. Malgré son état, avait toujours une aura menaçante autour de lui, et ses yeux remplis de colère me donnaient des frissons. Je pouvais sentir la tension monter dans la pièce, l'air devenait de moins en moins respirable.

Moi: J-je...j'ai entendu du bruit e-et j-je voulais m'assurer que tout allait bien, d-désolé G-Gérald je re-recommencerait plus...

dis-je la voix tremblante en essayant de cacher ma peur.

Gérald se rapprocha encore et encore jusqu'à me bloquer contre le mur. Son visage, à quelques centimètres du mien, complètement déformé par la colère.

Gérald: JE T'AI DIT DE NE JAMAIS, JAMAIS ENTRER ICI !

Sa voix résonnait comme un coup de tonnerre.

Il leva le poing et l'abattit violemment sur le mur à côté de ma tête, faisant ainsi trembler toute la pièce Mon corps se mit a trembler. Cette scène me rappela douloureusement les moments où mon père me battait, et je sentis la terreur m'envahir de nouveau.

Gérald: TU COMPRENDS ÇA? JAMAIS ! rugit-il, avec une intensité terrifiante.

Je ne pouvais que hocher la tête frénétiquement, mes yeux était brouillés de larmes. Tout mon corps était paralysé par la peur. Gérald, déchaîner par sa colère, ne semblait pas prêt à se calmer. Son regard menaçant restait fixé sur moi, chaque muscle de son visage tendu par la rage.

Gérald: JE T'AVAIS PRÉVENU, JE T'AVAIS DIT DE NE JAMAIS ENTRER ICI, ET MAINTENANT TU VAS PAYER CHER, TRÈS CHER ! Hurla-t-il, avec une colère féroce.

Dans un élan de panique, je tentai de m'enfuir, mes jambes tremblantes sous le choc. Avant même que je puisse atteindre la porte, Gérald m'attrapa fermement par le bras, me tirant brusquement vers lui. Sa prise était si forte que je sentis une douleur là où il me serrait.

Gérald: Où crois-tu aller comme ça Amel ? Gronda-t-il, sa voix perçant le silence de la pièce .

J'essayais de me débattre, les larmes coulaient encore plus fort . Gérald me maintenant avec une force écrasante, sa rage était toujours aussi palpable. Je n'avais pas d'autres choix que de rester là, terrifiée en me remémorant ce que mon père me faisait vivre . Gérald était certes violant mais uniquement dans ces paroles, cette fois si c'était different, comme si quelqu'un d'autres avait pris possession de son corps. Mon coeur battait à tout rompre, chaque pulsation résonnait comme un tambour dans mes tempes. Je cherchais désespérément une échappatoire, mais la pièce semblait se refermer sur moi, les murs devenait complices de ma peur.